Publiéle 15 janv. 2014 à 20:31 La Fnac, enseigne de produits culturels et technologiques, a annoncé mercredi qu’elle allait fermer deux de ses magasins en France pour cause de baisse de
CULTURA a toutes leschances d'être la première grande enseigne de biens de loisirs culturels à poser un pied dansle département. Pour l'heure, les Oisiens qui recherchent CD, disques ou livres doivent en effetfiler à Cergy ou à Amiens où se trouvent les deux plus proches magasins de la Fnac. Mais Cultura,son concurrent direct, projette de s'installer dans la zone commerciale de Creil - Saint-Maximin,traçant une ligne entre ses magasins d'Herblay Val-d'Oise et Hénin-Beaumont Pas-de-Calais.Le dossier est en bonne voie de constitution, indique-t-on dans l'entourage de la marque. Pourle moment, il n'est pas encore question de permis de construire ou d'achat de terrain, maisl'on attend le feu vert de la préfecture pour lancer véritablement la procédure. Ensuite, ilsera temps d'envisager la réalisation d'un bâtiment allant de 1 500 à 3 000 m2. »En l'occurrence, il est fait état d'une superficie de 2 200 valeur montanteFaceaux 64 Fnac disséminées dans l'Hexagone, Cultura n'oppose pour l'heure que 21 magasins, généralementplacés dans les centres commerciaux en périphérie de grandes villes ou de villes moyennes, etanimés par 700 salariés. Mais l'entreprise indépendante, fondée par Philippe Van der Wees, estassurément la valeur montante. Créée en 1998 avec pour mot d'ordre loisirs et culture pourtous », elle offre au public une nouvelle vision du commerce de biens de loisirs culturels avecun large assortiment dans les secteurs du livre, du disque, de la vidéo, du multimédia, desloisirs créatifs, de la papeterie, des beaux-arts, de la carterie et de l'encadrement. Le livreoccupe près d'un tiers du magasin avec de 40 000 à 50 000 références dans tous les disques, tous les styles sont représentés à travers un fonds de 20 000 références. Au rayonvidéo se côtoient tous les genres, du film classique incontournable au dernier succès, séries,documentaires, spectacles, etc. Cultura propose également des logiciels multimédia, accessoiresliés à l'informatique et aux jeux vidéo, la papeterie, des fournitures scolaires et de bureau,etc. Le temps passé dans le magasin par un client doit, en soi, être un plaisir », se plaîtà souligner Philippe Van der Wees. Mais il faudra encore patienter pour le vérifier. Compterendu de la recherche pour ENSEIGNE CONCURRENTE DE LA FNAC A FERME EN FRANCE. Lors de la résolution d'une grille de mots-fléchés, la définition ENSEIGNE CONCURRENTE DE LA FNAC A FERME EN FRANCE a été rencontrée. Qu'elles peuvent être les solutions possibles ? Un total de 21 résultats a été affiché. Les réponses sont
A ceux qui douteraient encore de la puissance virale des réseaux sociaux, il est vivement conseillé de lire la mésaventure vécue par une jeune directrice artistique indépendante avec un vendeur du rayon informatique de la FNAC des Ternes à Paris. Le consom’acteur » n’est plus un mythe et les entreprises vont devoir définitivement intégrer cette notion au risque de multiplier les embardées numériques. Il s’en est fallu de peu le 28 mai pour qu’une mauvaise expérience en magasin ne vire au bad buzz implacable sur Internet pour la FNAC. Sans le sang-froid des community managers de la page Facebook de l’enseigne, l’entreprise aurait probablement pu se retrouver dans une posture encore plus délicate face au message rageur abondamment liké » de Claire Maoui, une cliente dédaigneusement traitée par un vendeur en informatique. Réel et digital ne font qu’un Tout commence avec un ordinateur qui rend l’âme au moment le moins opportun. Directrice artistique free-lance, Claire Maoui doit rendre de toute urgence un projet à un client. Privée d’outil de travail, elle fonce alors sans hésiter à la FNAC des Ternes pour acquérir illico un nouvel ordinateur et achever ainsi son travail dans les délais. Pas de chance, le nouvel objet est endommagé. La jeune femme retourne aussitôt dans le magasin pour procéder à un échange. Pourtant, elle est fraîchement accueillie par un vendeur malpoli qui met en doute sa version tout en consignant l’appareil défectueux sans vraiment se soucier de la situation critique de sa cliente. Résultat plus d’ordinateur pour travailler et une prestation perdue pour la graphiste free-lance. Ecœurée et mécontente, elle décide alors de poster le message suivant sur la page Facebook de la FNAC. Mobilisation éclair 12 000 like » en quelques heures Est-ce parce que l’histoire a ému ou bien parce que d’autres personnes se sont reconnues dans les tribulations malheureuses de la jeune femme ? Toujours est-il qu’à peine la missive électronique incendiaire est-elle publiée que les internautes se précipitent pour liker » et déposer des commentaires outrés de soutien à l’infortunée Claire. Au total, plus de 12 000 personnes vont cliquer sur le petit pouce levé de Facebook sur une page qui compte à l’heure actuelle près de 348 000 fans. Ce qui représente 3,4% d’entre eux, une proportion non négligeable et supérieure à bien des taux de retour moyens d’opérations de marketing digital. Devant l’emballement des chiffres, un community manager de la FNAC a heureusement le bon réflexe. Il adresse rapidement un message d’excuse. Il la rassure sur le fait que sa requête a été portée à l’attention de la direction pour apporter rapidement un dénouement favorable. De fait, l’enseigne tiendra ses promesses en livrant un nouvel ordinateur assorti d’un chèque cadeau de 150 €. Réparation que l’internaute furibarde saluera elle-même, ravie d’avoir été contactée en personne par le directeur du magasin qui s’est confondu en excuses. Mais pourquoi occulter ? La FNAC a effacé l’incident de sa page Facebook L’issue finalement positive de ce différend commercial a pourtant été quelques heures plus tard effacée de la page Facebook de la FNAC. Comme si l’incident n’avait jamais existé, le community manager a supprimé le long message récriminatoire de Claire Maoui. Une décision qui montre bien que l’entreprise n’a pas encore totalement intégré les exigences de transparence et de responsabilité qu’implique une présence sur les médias sociaux. Avec plus de 12 000 personnes appuyant sur Like », il était pourtant évident que l’histoire n’allait pas passer inaperçue aux yeux des internautes. De même, il était quasi assuré que certains feraient immédiatement des captures d’écran de la lettre incendiaire qui allaient être ensuite reprises sur d’autres sites Web. Dès lors, pourquoi nier une anomalie qui au final a trouvé une solution satisfaisante ? Pourquoi gommer et cacher à la communauté de fans un désaccord qui somme toute, peut potentiellement survenir de temps à autre ? Ceci est d’autant plus illogique que la FNAC a résolu le souci en l’espace de quelques heures seulement. Dans des cas plus graves, pareille censure aurait même tendance à largement accentuer le problème. Sur les médias sociaux, plus on tente de se soustraire à ses responsabilités, plus l’énervement des communautés s’amplifie. Nestlé se souvient encore de manière cuisante de la polémique Greenpeace – KitKat. Pour avoir brandi l’arme juridique et exiger le retrait de la vidéo accusatrice de l’ONG, le géant suisse s’est retrouvé aux prises avec un bad buzz planétaire qui l’a en fin de compte contraint à baisser pavillon et accepter d’entendre les critiques de ses détracteurs. Conclusion – Reconnaître son imperfection pour renforcer la relation Tous les observateurs experts convergent et s’accordent sur un point irréversible sur les médias sociaux, les consommateurs sont et seront toujours plus engagés et exigeants à l’égard des marques, des entreprises et des personnalités publiques. L’exigence d’avoir voix au chapitre, d’être écouté et d’être considéré comme un interlocuteur humain et pas un vulgaire quidam digitalisé n’est plus une option mais un devoir qu’ont les organisations. Dans le cas contraire, les réactions peuvent alors engendrer des tensions aux impacts parfois désastreux. Même en cas d’incident et/ou de désaccord, la franchise d’une marque sera toujours appréciée en dépit de ses imperfections. Du moment qu’une écoute empathique et un effort sincère sont accomplis pour préserver la relation, les consom’acteurs » sont prêts à passer l’éponge. La réaction finale de Claire Maoui est d’ailleurs symptomatique de cette propension avérée. Après avoir été passablement irritée, elle a salué ensuite le traitement satisfaisant de son problème par l’enseigne. Récemment, Contently, une agence américaine de contenus numériques a publié un intéressant billet où elle comparait les relations sur les médias sociaux à celles d’une relation amoureuse ! L’analogie n’est pas si stupide. En amour, on peut être imparfait à condition de le reconnaître et de s’efforcer de faire mieux. Ce qui fait écrire à l’auteur du billet que des stratégies sociales bien exécutées sont très puissantes pour bâtir une relation. Quand votre marque donne le coup de pouce supplémentaire, vos clients le remarquent. Et sur les médias sociaux, vos clients le remarquent publiquement ». Dans cette optique, la FNAC n’avait pas besoin d’occulter le désagrément causé à sa cliente mais plutôt faire savoir qu’elle avait résolu prestement le problème. A moins que ce genre d’incident ne soit très récurrent ? Ce qui requiert dans ce cas un traitement autrement plus pointu des dérives ! Mise à jour de l’auteur – 30 mai 2013 Grâce au Twittos Informine, j’ai été averti que le retrait du post furieux a été effectué à la demande de Claire Maoui elle-même comme en atteste la capture d’écran ci-dessous. La remarque sur la censure » exercée par la FNAC devient donc caduque sur cette histoire. J’avais pourtant contacté Claire Maoui via Facebook pour recueillir sa version de l’histoire mais n’ayant pas eu de réponse, j’avais supposé que le CM de la FNAC avait retiré de lui-même. Dont acte !
Lautorité de la concurrence a validé, lundi, le rapprochement entre l'enseigne culturelle et le groupe d'électroménager. Les fabricants de meubles se plaignent d’être déjà sous pression de But alors que le rachat de Conforama n’est pas encore validé. L’Autorité de la Concurrence s’inquiète d’une dépendance de la l’un des dossiers les plus chauds de l’Autorité de la Concurrence. Derrière les médiatiques mariages entre TF1 et M6 et celui, à venir, entre Hachette et Editis, c’est actuellement le rachat de Conforama par But qui pose le plus de indépendante a entamé il y a un mois un examen "approfondi" de cette opération qui avait été largement poussée par les pouvoirs publics à l’été 2020, en pleine pandémie. L’enjeu était clair sauver Conforama, au bord de la faillite, et ses 7500 salariés. Aujourd’hui, l’anti-trust français explique qu’il s’inquiète de la "dépendance des fournisseurs à l’égard de Mobilux", le propriétaire actuel de But et de le front des "doublons" de magasins, la situation n’est pas critique. Certes, 75 des 172 magasins de Conforama sont proches de ceux de But, mais aucun acteur du secteur ne pousse à les fermer."On a besoin du plus de magasins possibles pour continuer à vendre", explique un fabricant de aussi l’argument de But qui a promis de conserver les deux marques distinctes. Selon plusieurs sources proches des deux enseignes, une quinzaine de magasins au maximum pourraient être moitié du chiffre d'affaires en jeuLe vrai problème des fournisseurs de meubles est qu’ils s’inquiètent d’être écrasés par le nouveau groupe. Pour certains, les deux enseignes peuvent peser jusqu’à la moitié de leur chiffre d’affaires, comme Gautier ou Demeyere. C'est aussi le cas du fabricant de lits, Adova qui regroupe les marques Treca et Simmons, mais dont les relations avec les deux enseignes se sont apaisées. Contactées, les sociétés n'ont pas souhaité sujet est très sensible car la filière de l’ameublement, déjà fragile depuis plusieurs années, compte emplois en France dont 25% dépendent de But et Conforama. Le bras de fer a déjà commencé. Ces derniers mois, plusieurs fabricants se sont plaints auprès de l’Autorité de la concurrence d’avoir été déjà mis sous pression par But. Une centrale d’achat commune aux deux marques, baptisée "GigaFrance", a été créée."On a déjà eu des réunions avec des responsables de But et de Conforama alors que les deux enseignes ne sont pas encore mariées" s’étonne un dirigeant du réalité, l’Autorité de la concurrence explique avoir fourni une "dérogation afin de réaliser l’opération et poursuivre l’activité". Une mesure exceptionnelle alors que Conforama était au bord du dépôt de au sein de la filièreDes petits fournisseurs se plaignent que cette société commune, GigaFrance, "demande de gros efforts sur les prix" peste un fabricant qui préfère rester anonyme. Certains avancent des baisses de prix jusqu’à 15% alors que "les prix des matières premières ont beaucoup augmenté" précise l’un d’eux. Et accusent But-Conforama de leur réclamer des "marges arrières". Ils ont alerté le ministère des PME Alain Griset ainsi que la direction générale de la répression des fraudes DGCCRF.D’autres, comme Parisot, préfère voir le verre à moitié plein "si le positionnement des deux enseignes évolue pour limiter la guerre des prix, ce sera bon pour nous aussi" explique Jean-Charles Parisot. Depuis des années, la concurrence entre But et Conforama était féroce. Désormais, la première devrait monter en gamme, laissant à Conforama des produits à bas puissante centrale d'achatParisot vient de se marier à un concurrent, Alsapan, ce qui lui permet de réduire sa dépendance à But et Conforama. Les deux enseignes ne pèsent ainsi plus que 12% de son chiffre d’affaires contre 25% auparavant. Il a aussi ouvert des usines en Europe de l’Est pour réduire ses coûts. D’autres ont choisi le Portugal. Les petits fournisseurs français craignent que But-Conforama ne les mettent encore plus en concurrence avec les fabricants de meubles d’Europe de l’Est. Car leur maison-mère, le groupe autrichien Lutz, se fournit déjà là-bas pour ses marques locales dans une dizaine de pays. Face à leur gigantesque centrale d’achat "Giga International", de 11 milliards de chiffre d’affaires et salariés dans le monde, les petits fabricants français ne pèsent pas la direction de But n’a pas souhaité commenter. Mais un proche du distributeur nuance "la grande majorité de nos fournisseurs a été soulagée que But rachète Conforama sinon beaucoup aurait fait faillite". Dans la profession, beaucoup d’enseignes jugent que des petits fournisseurs français ont manqué le virage de la délocalisation vers les pays moins chers. Et que le mariage entre But et Conforama va les obliger à bouger ou à s’ filière de l’ameublement demande à l’Autorité de la concurrence de "dissoudre GigaFrance", explique un dirigeant, la centrale d’achat de But et Conforama exerçant trop de pression sur eux. La décision est attendue pour la fin de l’année. Ellefait référence aux échanges entre Carl Jung, Emma Jung et Toni Wolff encore non publiés en France et se termine à l’aube de la deuxième guerre mondiale. La troisième et dernière partie, "De l’Âme", aborde les grands textes - Réponse à Job ; Synchronicité ; Mysterium Conjunctionis, les étapes de fusion avec l’Univers et la source de la totalité dans l’homme. Auteur La Fnac a annoncé mercredi avoir fait une offre de rachat du groupe britannique Darty, pour tenter de créer un leader du secteur dans un contexte de consommation morose et de concurrence de la vente en ligne DESK Le rapprochement des deux enseignes constituerait "une opportunité stratégique et financière majeure pour les deux groupes, en donnant naissance au leader de la distribution de produits techniques, culturels et électroménagers en France", a estimé la Fnac dans un communiqué. Son offre, remise lundi, est entièrement en titres elle propose "une action Fnac pour 39 actions Darty détenues" par les actionnaires du groupe de distribution d'électroménager et de produits techniques, coté à la Bourse de Londres. Elle valorise Darty à 101 pence par action, soit "environ 533 millions de livres" 720 millions d'euros et une prime de 27,4% par rapport au cours de mardi soir. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Le conseil d'administration de Darty "a examiné cette proposition et a conclu qu'il devrait étudier de plus près les avantages d'un éventuel rapprochement avec Fnac", a réagi le groupe dans son propre communiqué. "Dans un premier temps, il s'agira d'examiner les risques encourus par la réalisation de cette opération, afin de déterminer s'il y a une possibilité à ce qu'une offre puisse être recommandée aux actionnaires de Darty", a-t-il expliqué. Un porte-parole de Knight Vinke, fonds d'investissement activiste et premier actionnaire de Darty, avec 14,35% du capital, a annoncé de son côté qu'il "soutenait fortement le principe d'une association entre Darty et la Fnac" et "encourageait les deux parties à poursuivre leurs discussions en toute confiance". De son côté, Fnac affirme que l'opération "présenterait un potentiel de synergies très significatif", sans les chiffrer. L'ex-"agitateur culturel", contraint de se réinventer depuis quelques années avec l'effondrement des ventes de disques et la concurrence de la distribution en ligne, cite la "très grande notoriété" des deux marques, leurs sites internet "performants" et le caractère "complémentaire" de leurs réseaux de magasins parmi les atouts d'une éventuelle transaction. - 'Potentiel pour améliorer l'offre' - La Fnac, qui compte 184 magasins, dont 111 en France, est également présente en Espagne, au Portugal, au Brésil, ainsi qu'en Belgique et en Suisse. Elle a aussi un magasin en franchise au Maroc et au Qatar et va en ouvrir prochainement deux en Côte d'Ivoire. Son site internet lancé en 1999, est présenté comme le deuxième site de commerce électronique en France en nombre de visites. En 2014, le groupe dirigé par Alexandre Bompard a dégagé un bénéfice net de 41 millions, pour un chiffre d'affaires quasi stable -0,3% de 3,89 milliards d'euros. Au premier semestre, il a toutefois accusé une perte nette de 42,6 millions d'euros, pour une activité en baisse de 2% à 1,62 milliard d'euros, dans un contexte de consommation morose en France. De son côté, Darty a 222 magasins en France, 60 sous enseigne Vanden Borre en Belgique et 75 points de vente BCC aux Pays-Bas. Le groupe détient également le site Au cours de son exercice 2014-2015, clos le 30 avril, il a renoué avec les bénéfices après quatre années de pertes, dégageant un bénéfice net de 13,8 millions d'euros, pour un chiffre d'affaires en croissance de 3,2% à 3,51 milliards d'euros. Darty a notamment bénéficié de sa nouvelle offre d'objets connectés et des liens renforcés avec Mistergooddeal, via des points de retrait en magasin. Créé par la famille française Darty à la fin des années 1950, l'enseigne a été rachetée par le britannique groupe Kingfisher en 1994, qui s'est ensuite scindé en 2003, donnant naissance à la société cotée à Londres Kesa Electricals, finalement rebaptisée Darty en 2012. Pour le courtier britannique Liberum, le prix proposé par le groupe français "ne reflète pas correctement le potentiel de rebond significatif" que présente l'action Darty. La Fnac a désormais un mois pour faire une offre ferme sur Darty ou pour annoncer si elle y renonce. Dans la foulée de ces déclarations, l'action Darty a fini la séance sur un gain de 19,14% à 96,5 pence, tandis que Fnac perdait 3,60% à 51,09 euros. Les plus lus OpinionsLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne Rosencher
LaFnac, enseigne de produits culturels et technologiques, a annoncé qu'elle allait fermer son magasin de Villiers-en-Bière (Seine-et-Marne) en raison d'une baisse de fréquentation.

Après des mois de bataille, la Fnac a réussi à vaincre les offres de Conforama pour le rachat de Darty. La Fnac sort victorieuse de la bataille pour l'acquisition de Darty , Conforama ayant finalement jeté l'éponge mercredi après des mois d'une bataille acharnée autour de l'enseigne d' a annoncé dans un communiqué avoir renoncé à une ultime surenchère sur la Fnac, qui propose 1,16 milliard d'euros pour racheter Darty, là où la chaîne de magasins de meubles proposait 1,09 milliard, reconnaissant ainsi sa défaite face à l'"agitateur culturel". La suite après cette publicité "Le conseil d'administration de Conforama confirme que sa troisième offre relevée à 160 pence pour chaque action Darty est définitive et ne sera pas relevée", a fait savoir le groupe d'ameublement dans un communiqué. La suite après cette publicité "Nous continuons de penser qu'à ce prix, la société Darty aurait représenté un bon complément pour le groupe Steinhoff", la maison-mère sud-africaine de Conforama, "mais à un prix plus élevé, cela ne créerait plus suffisamment de valeur pour les actionnaires, salariés et parties prenantes de Steinhoff", a résumé le patron de Conforama Alexandre lire La Fnac veut avaler Darty La suite après cette publicité La suite après cette publicité Mardi soir, la Fnac avait annoncé avoir reçu le soutien de la majorité des actionnaires de Darty, suite à sa dernière et ultime proposition de rachat formulée lundi, valorisant l'enseigne à 1,16 milliard d' offre d'achat améliorée bientôt proposéeLa Fnac avait acquis un nombre très important d'actions dans les heures précédentes, montant à 29,73% du capital, contre 9,2% lundi midi. Le distributeur de produits culturels et technologiques assurait en outre disposer "d'engagements irrévocables" de la part de deux des principaux fonds actionnaires de Darty, Knight Vinke et DNCA, d'apporter également leurs titres à sa derniers disposant de 22,1% des actions Darty, techniquement, l'"agitateur culturel" était donc déjà en mesure de devenir l'actionnaire majoritaire de Darty, avec 51,84% du pour cela, il doit encore officiellement déposer son offre d'achat améliorée auprès des autorités boursières anglaises. Cela sera fait "dans les prochaines semaines", a-t-il précisé mardi par l'AFP mercredi matin, la Fnac n'a pas souhaité réagir à l'abandon de son n'était lui pas joignable dans l' dernier rebondissement met fin à des semaines d'une bataille homérique à coup de surenchères à répétition entre Conforama et la Fnac, qui cherchaient tous deux à s'emparer de Darty afin d'acquérir des avantages concurrentiels décisifs face notamment aux géants du net comme Amazon ou CDiscount, dans un marché de l'électrodomestique très disputé et en phase de débuté en septembre avec une première proposition de la Fnac contrée en mars par une première offre concurrente de Conforama, s'était subitement accéléré le 21 avril. En moins de 24 heures, la Fnac et Conforama avaient multiplié les surenchères, faisant flamber la valorisation de Darty à plus d'un milliard d' la Fnac avait, dans un ultime effort, remonté une dernière fois sa proposition. Le groupe offrait ainsi aux actionnaires 170 pence par action Darty - qui n'en valait que 80 à l'été dernier - proposant également une alternative en Fnac veut diversifierCela lui aura donc finalement permis de remporter la partie. Avec cette acquisition, la Fnac va ainsi pouvoir renforcer sa stratégie de diversification, notamment dans les objets connectés et le petit électroménager, pour contrer le déclin de son marché historique, les produits groupe fait miroiter que l'alliance avec Darty dégagerait 130 millions d'euros d'économies, notamment via des offres commerciales croisées, mais également via "l'optimisation de la logistique et de l'informatique" et des fonctions élément suscite l'inquiétude des syndicats, qui craignent des suppressions d'emplois. Ce week-end, ces derniers s'étaient d'ailleurs clairement prononcés en faveur de la proposition de de Darty par la Fnac reste également soumise à l'approbation de l'Autorité de la concurrence française, qui avait fait savoir le 23 mars qu'elle entamait sa phase d'examen approfondie du Sages de la rue de l'Echelle pourraient notamment demander à la Fnac et à Darty de céder certains magasins, les deux groupes étant souvent en concurrence frontale dans les grandes métropoles.

Faceà Amazon & Co, c'est l'enseigne nordiste Boulanger qui donne le plus envie d'aller en magasin. Mais Fnac et Darty sont plus numérisés., Une

Arrivée dans le pays en novembre 2015 avec un premier magasin franchisé dans le centre commercial Cap Sud de Marcory, au sud d’Abidjan, puis un deuxième ouvert en 2016 dans le centre commercial Cap Nord, à l’est de la capitale économique, la Fnac se fait progressivement une place sur le marché. Selon ses dirigeants, l’offre technologique composée de produits bruns TV, hi-fi, matériel audio et vidéo et de produits gris télécoms, multimédia, tablettes, informatique connaît un franc succès. Anne-Carine Royer, la directrice des magasins Fnac d’Abidjan, affirme que cette offre représente aujourd’hui 50 % du chiffre d’affaires non dévoilé, avec des clients notamment séduits par le service après-vente personnalisé permettant de prendre en charge toute requête, jusqu’à l’échange de la marchandise. Le livre, toujours la star des ventes Mais le succès de la vente des produits technologiques n’a pour autant pas occulté le cœur de métier du groupe français qu’est le livre. Depuis que l’enseigne Mediastore, créée en 2000 par Prosuma, le détenteur de la franchise, a été transformée, fin 2015, en Fnac, les ventes de la librairie affichent une hausse significative. Le rayon livres représente aujourd’hui presque un quart du chiffre d’affaires, avec une progression de 10 % depuis le rebranding en Fnac. Pour doper ses ventes, l’enseigne, qui propose dans ses magasins ivoiriens toutes les nouvelles sorties et les best-sellers au niveau international, entend lancer cette année son programme de fidélisation, sur le modèle de celui pratiqué en France. Les détenteurs des cartes d’abonnement pourront bénéficier de remises sur leurs achats. Le titulaire d’une carte créée en France ou ailleurs ne paiera qu’une seule fois le droit d’adhésion », explique Anne-Carine Royer. Le livre est et restera notre priorité. Le livre est et restera notre priorité. Il est un vecteur de divertissement, de culture, d’apprentissage et d’ouverture à l’autre par le biais de la connaissance, ajoute Anne-Carine Royer. Pour 2017, nous allons développer les rayons business et management ainsi que le rayon développement personnel. Ces livres sont très demandés par notre clientèle ivoirienne, et leur offre était insuffisante. Idem pour les livres en anglais. » C’est notamment sur ce créneau que la Fnac vient rivaliser avec l’acteur historique de la vente de produits culturels en Côte d’Ivoire, Librairie de France. Créée en 1938, cette entreprise, qui a été sinistrée en novembre 2004 lors de la crise franco-ivoirienne avec la destruction en une demi-journée de 17 magasins sur 25, a été reprise en 2005 par l’Ivoirien René Yedieti, via Reyed Holding. Aujourd’hui, Librairie de France Groupe possède dix magasins, dont sept à Abidjan, un à Yamoussoukro, un à Bouaké et un à San Pedro. Une boutique en ligne a été également créée. Pour maintenir l’activité, Librairie de France a dû compter sur les partenaires français de la Centrale de l’Édition, qui fourni des produits culturels avec des paiements après vente. Les banques locales ont aussi participé à la relance dans un contexte où l’investissement était difficile. Librairie de France élargit son marché Avant de se retrouver en concurrence avec elle, René Yedieti avait été en négociation avec la Fnac, à qui il a proposé de créer une entreprise commune. Mais elle a finalement préféré une franchise avec le leader de la distribution dans le pays. Depuis, Librairie de France Groupe a déployé une nouvelle stratégie et élargi son offre. Elle a réorienté Barnoin Informatique, un département du groupe initialement spécialisée dans la vente de matériel informatique et la commercialisation exclusive de la marque Apple, pour en faire un spécialiste en ingénierie, qui développe et vend des logiciels au secteur privé et public. Je ne voulais plus rester uniquement dans le livre, il fallait réorienter l’activité de l’entreprise en prenant en compte les mutations de la société », explique René Yedieti. Librairie de France Groupe s’est également associé au tunisien Intérieurs pour fonder l’an dernier la société commune Intérieurs Côte d’Ivoire By LDF, spécialisée dans la fourniture de mobilier de bureau. Enfin, Librairie de France est désormais présente sur le même créneau de vente de biens technologiques que la Fnac. C’est un concurrent de taille, mais cette compétition nous rend meilleurs et est une source de motivation supplémentaire. Nous allons là où la Fnac ne pourra pas aller, notamment dans les villes de l’intérieur du pays », confie René Yedieti, qui vient d’ouvrir un nouveau magasin dans le centre commercial Abidjan Mall, à moins de dix minutes de la Fnac Cap Nord dans le quartier de Cocody-Riviera 3. Encore numéro un dans le pays Librairie de France Groupe reste le leader du secteur du livre, dont il capte près de 70 % du marché formel. Dans l’informatique, sa part est estimée entre 25 % et 30 %, et à 40 % dans la papeterie. En moins de dix ans, le chiffre d’affaires est passé de 7 milliards de F CFA, en 2005, à 13 milliards de F CFA, en 2016. L’objectif du groupe est de franchir le palier des 20 milliards de F CA en 2020, en misant sur les marchés d’État pour la distribution des kits scolaires gratuits, un marché de 10 milliards de F CFA par an que le gouvernement octroie aux acteurs du marché du livre et des manuels scolaires. Le modèle de réussite de Librairie de France Groupe a séduit hors de Côte d’Ivoire, et des projets d’implantation en RD Congo et au Cameroun ont été soumis à René Yedieti. Pour l’instant, nous allons poursuivre notre consolidation. Nous investirons environ 3 milliards de F CFA pour développer notre réseau de magasins et proposer de nouvelles offres. Ensuite seulement, nous étudierons les projets à l’extérieur », explique le PDG, avant de révéler que l’entreprise est ouverte à toute prise de participation dans les 92 % que détient Reyed Holding dans Librairie de France Groupe, et espère entrer en négociation avec le français Cultura. DEUX PATRONS, DEUX STYLES René Yedieti et Abou Kassam incarnent tous deux la figure de l’homme d’affaire qui a réussit à prospérer en Afrique. Leur parcours et leur ambition sont pourtant bien différents. René Yedieti, de la finance aux livres L’Ivoirien René Yedieti a racheté en mars 2005 Librairie de France Groupe au groupe Pharmafinance, qui contrôle Laborex, le leader local de la distribution pharmaceutique. Directeur financier de Laborex, il avait été précédemment chargé de la restructuration de l’enseigne culturelle. Ce diplômé de l’École supérieure de commerce d’Abidjan Esca, option finance, a démarré sa carrière au cabinet d’audit et d’expertise comptable Ernst & Young, à Abidjan puis à Lyon. Le quinquagénaire est aussi administrateur de l’Association internationale des libraires francophones. Abou Kassam, un président mécène Abou Kassam © Hussein Makke Amateur de littérature, le discret patron de Prosuma a lancé Mediastore en 2000 pour partager cette passion avec ses compatriotes. La Fnac est pour lui un projet personnel, mûri depuis longtemps. Ses bureaux de l’immeuble Nour Al Hayat, au Plateau, ont des allures de bibliothèque et de galerie d’art. D’ailleurs, Abou Kassam est mécène de la galerie La Rotonde des arts contemporains, installée au rez-de-chaussée de Nour Al Hayat. Ce sexagénaire diplômé de HEC Paris codirige avec son binôme et frère » Karim Fakhry le groupe familial Prosuma, leader de la grande distribution moderne en Afrique subsaharienne francophone.
Vousavez notifié le 22 mai 2020 à l’Autorité de la concurrence la prise de contrôle exclusif par Fnac-Darty de l’activité de distribution de produits électrodomestiques de 30 hypermarchés Carrefour, formalisée par un protocole d’intention signé le 25 novembre 2019 auquel est annexé un Term Sheet décrivant les principaux termes et conditions de cette prise de contrôle. 1. Les PARIS Reuters - Pour la première fois en France et en Europe, l'Autorité de la concurrence prendra en compte le marché du e-commerce dans son appréciation sur les conséquences concurrentielles du rapprochement entre la Fnac et Darty, a annoncé mercredi le président du régulateur. A l'issue d'une bataille forcenée avec Conforama pour le contrôle de Darty, la Fnac l'a finalement emporté au prix fort, après s'être assurée du contrôle de 51,8% du capital du distributeur de produits électroniques et électroménagers. Comme le demandait la Fnac, l'Autorité juge "logique d'intégrer la vente en ligne", compte-tenu de la pénétration du e-commerce sur le marché des produits électroménagers et électroniques. Elle mesurera donc la pression concurrentielle formée par l'ensemble des acteurs, magasins en dur des enseignes et leurs propres sites internet, et par les "pure players" du e-commerce que sont Amazon ou CDiscount, propriété du groupe Casino. Cette méthode, qui aura pour conséquence de faire mécaniquement baisser la part de marché des magasins physiques de la Fnac et de Darty, "est donc à leur avantage", a précisé Bruno Lasserre, président de l'Autorité de la concurrence, lors d'une conférence de presse consacrée à la présentation du rapport annuel du contrairement à ce que réclamait la Fnac, l'examen se fera localement, par zones de chalandise, et non au niveau décision est attendue "juste après le long week-end du 14 juillet", a indiqué Bruno de l'annonce de son examen approfondi de l'opération, l'Autorité avait dit qu'elle étudierait la possibilité de retenir l'existence d'un canal de distribution unique. AUCHAN-SYSTEME U, DEUX MODELS DIFFERENTSConcernant l'opération de fusion prévue dans la grande distribution entre Auchan et Système U, Bruno Lasserre a indiqué que la présentation du projet avait du retard et qu'il n'était "pas certain, de ce fait, qu'une décision puisse être prise en octobre comme prévu"."La balle est dans le camp des enseignes pour qu'elles présentent un projet suffisamment abouti pour qu'il puisse être examiné par l'Autorité", a précisé Bruno difficulté tient aux modèles très différents des deux distributeurs, Auchan étant un groupe capitalistique intégré et Système U un regroupement de commerçants deux groupes prévoient d'échanger leurs enseignes, les hypermarchés revenant à Auchan et les supermarchés à Système U. Mais du côté de Système U, chaque changement d'enseigne doit être approuvé par le gestionnaire du magasin."C'est là que nous constatons un certains retard et certaines résistances", a-t-il 2015, l'Autorité de la concurrence a infligé un montant record de sanctions de 1,25 milliard d'euros, après plus d'un milliard en 2014. Pascale Denis, édité par Cyril Altmeyer R0Up.
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