Si chacune des Ă©quipes a remportĂ© un set, un set dĂ©cisif est organisĂ©. Ce dernier se joue en 15 ou 25 en fonction du temps restant avec 2 points dâĂ©cart. La durĂ©e de pratique est dâenviron 1 h 20, ce qui comprend une prĂ©paration de 20 minutes et un match dâenviron 1 heure. En gĂ©nĂ©ral, les ligues sont mixtes. Quâest-ce quâun set au Volley-ball ? Les points sont marquĂ©s soit en faisant tomber le ballon sur le terrain de lâĂ©quipe adverse, soit quand lâadversaire commet une faute. La premiĂšre Ă©quipe Ă atteindre 25 points avec deux points dâĂ©cart minimum gagne le set et la premiĂšre Ă©quipe qui gagne trois sets gagne le match. Quelle est la durĂ©e dâun set ? Un set, correspond Ă 6 jeux. Lorsquâil y a 5-5 », il faut aller jusquâĂ 7 jeux. Sâil y a 6-6 » on rĂ©alise alors un jeu dĂ©cisif » tie break. Pour jouer, deux Ă©quipes de 6 joueurs sâenvoient le ballon par-dessus le filet, entre les mires. Le ballon peut toucher le filet lors de son franchissement. Les Ă©quipes sâaffrontent en 3 sets gagnants de 25 points. En cas de 5Ăšme set, celui-ci se joue en 15 points. Quelle taille pour jouer au volley ? 180 cm. Quelle est lâimportance de la taille en volleyball? Dans le volleyball moderne, la taille est trĂšs importante, surtout au contre car on peut simplement rĂ©agir plus vite quand on est plus grand. Mais un joueur de pe- tite taille peut compenser ailleurs par ses aptitudes. Le passeur Il doit pouvoir effectuer des frappes longues courtes, devant et derriĂšre lui en fonction des conditions du moment. Quel est le but principal du Volley-ball ? Au volley-ball, le but du jeu est de marquer le plus de points possible tout en empĂȘchant les adversaires dâen marquer. Pour cela, il faut envoyer le ballon dans le camp adverse sans que celui-ci ne soit rattrapĂ©. Quelle est la durĂ©e maximale dâun match de tennis ? Une grande Ă©tude gĂ©nĂ©rale estime la durĂ©e dâun match entre 1H et 3H. Cette estimation est trĂšs vague. En France, quand un juge arbitre rĂ©alise sa programmation, il prĂ©voie minimum des matchs de 1H45 minutes au niveau de la durĂ©e. Sur terrain dur, on est plus sur une estimation Ă 1H30 minutes. Quand finit un match de tennis ? Le premier joueur arrivĂ© Ă 7 points remporte le set, Ă condition quâil ait 2 points dâavance ex 7-5. Sinon, le jeu se poursuit jusquâĂ ce que cette avance soit obtenue. Quelle est la durĂ©e dâun match de tenis ? En termes de durĂ©e, la paire de 3 jeux dure 90 minutes , et lorsquâil sâagit du meilleur des 5 jeux , elle peut durer environ deux heures et 45 minutes . Beaucoup dâentre vous ne savent peut-ĂȘtre pas comment la surface dâun court de tennis dĂ©termine Ă©galement la durĂ©e dâun match. Quand je fais un service au Volley-ball dans quelle position Suis-je ? â le service se fait derriĂšre la ligne arriĂšre, sans marcher dessus. â le service doit ĂȘtre effectuĂ© dans les 8 secondes aprĂšs le coup de sifflet. â Au service, une fois la balle lancĂ©e, il y a obligation de la frapper la rattraper ou la laisser rebondir est une faute. En France, pour apprendre le volleyball, le mieux, câest de passer par un club de volley. Par contre, pour lâapprentissage et la pratique de ce sport dĂšs le plus jeune Ăąge, les Ă©coles de volley sont les plus conseillĂ©es. Quelle est la taille moyenne dâun basketteur ? Entre 1985 et 2006, la taille moyenne des joueurs de basket-ball Ă©tait de 1,80 m. Pourtant, il y a des joueurs qui ont su surpasser la norme et qui ont brillamment jouĂ© au basketball alors quâils Ă©taient les plus petits joueurs de basketball de tous les temps ! Quel est le plus petit joueur de volley ? Euro de volley BarthĂ©lĂ©my Chinenyeze, le petit » qui compte dans lâĂ©quipe de France. Il nâa que 21 ans. Quelle est la taille moyenne dâun joueur de basket ? La valeur de la stature Ă ce moment est de cm pour les garçons et de cm pour les filles.
un service ne peut pas ĂȘtre contrĂ© (= touchĂ© par un joueur adversaire au dessus de la bande horizontale du filet, pieds au sol ou non). 2. Le gain dâun set et dâun match. - Les sets doivent ĂȘtre gagnĂ©s avec 2 points dâĂ©cart (en gĂ©nĂ©ral 25 points ou2 Y a rien a admirer Mdrrr elles sont toutes moches et plates Moi je prĂ©fĂšre regarder le beach volley fĂ©minin 3 Y a rien a admirer Mdrrr elles sont toutes moches et plates Moi je prĂ©fĂšre regarder le beach volley fĂ©minin -D admire leur jeu, leur virtuositĂ© ...a Don Juan de Bladi 4 trĂšs agrĂ©able Ă regarder 5 Excellent!! c'est rare ce genre de situation ^^ 6 Salam ould khadija, C'est ta façon de pĂ©cho Levolley-ball est un sport qui oppose deux Ă©quipes sur un terrain de jeu divisĂ© par un filet. Il existe diffĂ©rentes versions spĂ©cifiques de ce jeu. Le but du jeu est de faire tomber le ballon dans le camp adverse et de lâempĂȘcher de toucher le sol dans son propre camp en lâenvoyant rĂ©glementairement par-dessus le filet. Chaque Ă©quipe dispose de 3 touches pour retourner le 1. Introduction 1Le temps, quand il est Ă©voquĂ© dans l'activitĂ© badminton, est abordĂ© selon trois angles un angle rĂ©glementaire, via les recommandations de la FFBAD concernant les temps de pauses et le principe de continuitĂ© du jeu ; un angle de performance, via des recherches rĂ©centes, exclusivement descriptives et relatives au haut niveau comme le calcul des durĂ©es moyennes caractĂ©ristiques d'un match Cabello Manrique & Gonzales-Badillo, 2003 ; Phomsoupha & Laffaye, 2014 ; un angle didactique, via quelques articles relatifs Ă la gestion du rapport de force Ă travers le concept de pression temporelle exercĂ©e par l'un ou l'autre dans l'Ă©change Leveau, 2000 ; Preuvot, 2000. 2PassĂ© le cadre rĂ©glementaire, dâemblĂ©e, on note un contraste entre le foisonnement des recherches rĂ©centes sur la structure temporelle du match AbiaÂŽn et al., 2014, Abian-vicen et al., 2013 ; Cabello & Lees, 2004 ; Cabello Manrique & GonzĂĄlez-Badillo, 2003 ; Chen & Chen, 2008, 2011 ; Faude et al., 2007 ; Ming, Keong, & Ghosh, 2008 et le peu dâouvrages didactiques qui sâintĂ©ressent Ă la question du temps en raquette lors des vingt derniĂšres annĂ©es Thibaut, 1993 ; Limouzin, 1998 ; SĂšve, 2000.On remarque une sorte dâimpermĂ©abilitĂ©, Ă la fois du champ didactique, qui reste majoritairement cantonnĂ© Ă des problĂ©matiques dâordre spatial, et des pratiques professionnelles qui occultent totalement la question en ayant recours Ă un jeu au temps quasi dâabord, au plan du rĂšglement, le badminton repose sur un principe de continuitĂ© du jeu. Les arrĂȘts rĂ©glementaires sont de deux minutes entre les sets et dâune minute Ă la moitiĂ© du set 11 points. Il est Ă noter cependant que la pratique de lâauto-arbitrage, majoritaire en badminton, laisse au joueur une certaine latitude sur ce principe de continuitĂ© du jeu car en aucun cas le jeu ne sera suspendu pour permettre Ă un joueur de rĂ©cupĂ©rer ses forces ou son souffle ou bien pour recevoir des conseils » FFbad Les rĂšgles officielles du badminton, septembre 2011.En outre, lâaspect temporel dans la littĂ©rature professionnelle en sports de raquette est, Ă de rares exceptions prĂšs Thibaut, 1993, largement minorĂ© par rapport Ă lâaspect spatial. Une revue de littĂ©rature rĂ©cente en badminton Dieu, 2012 montre que les ouvrages et articles restent centrĂ©s sur lâespace comme en tĂ©moigne lâomniprĂ©sence des progressions relatives au volume de jeu ou cartographie du terrain » en deux dimensions droite / gauche et avant / arriĂšre AndrĂ©ani, 1999 ; Estrabaud, Murignieux & Tixier-Viriciel, 2000 ; Deconinck & Fontaine, 2002 ou les cibles au sol Ă viser Gauvin, 1995 ; MĂ©rard & Ventou, 1996 ; Vaufreydaz, 2000. Seuls quelques auteurs, minoritaires, reprennent lâidĂ©e de Thibaut 1993 selon laquelle le Badminton est davantage un jeu de temps quâun jeu dâespace ». Ainsi, pour Ferly et Papelier 2003, si la classique distinction sur le volume de jeu du centre vers les quatre coins est reprise sây ajoute une vue latĂ©rale des trajectoires Ă©mises empruntĂ©es Ă Limouzin 1994, 2000 qui suggĂšre un axe vertical de dĂ©placement directement liĂ© Ă une logique temporelle en effet, le badiste saute souvent pour intercepter le volant et le jouer plus tĂŽt. Dâautres ouvrages Ă©voquent la notion de pression temporelle » Leveau, 2000 dĂ©finie comme le rapport entre le temps disponible effectif et le temps requis » Alain & Proteau, 1978. Lâaspect temporel est ici directement reliĂ© Ă lâaspect tactique puisquâil est Ă la base de lâidentification, par le joueur, de lâĂ©tat du rapport de force Pizzinato, 1993 Je domine si le temps disponible est supĂ©rieur au temps requis pour lâexĂ©cution de ma frappe, il sâagit alors de ne pas donner de temps Ă l'adversaire, ce qui implique de frapper le volant le plus tĂŽt possible / Je suis dominĂ© si le temps disponible est infĂ©rieur au temps requis, il sâagit alors de se donner du temps, notamment en relevant le volant afin de se replacer et dâĂȘtre dans de bonnes conditions pour frapper ».NĂ©anmoins, si ces quelques articles dĂ©passent une logique spatiale pure, lâaspect temporel nâest envisagĂ© quâĂ lâĂ©chelle du point changement de statut dans lâĂ©change, rarement dans lâĂ©volution du les pratiques en milieu scolaire, l'activitĂ© badminton se joue souvent au temps Voir Ă ce sujet, lâarticle de Laffaye 2006 dans lequel lâauteur compare les diffĂ©rentes formes dâorganisation du badminton scolaire montante-descendante, ronde italienne, tableau allemand et dĂ©fis. La logique organisationnelle vient alors contrecarrer les prĂ©occupations didactiques prĂ©cĂ©dentes si la logique du jeu impose le dĂ©roulement dâun match en points, les exigences scolaires nous enjoignent Ă privilĂ©gier lâorganisation au temps⊠plus efficace et fonctionnelle » Leveau, 2007, p. 77. Ce jeu au temps a pourtant tendance Ă dĂ©naturer l'activitĂ©-mĂȘme. Le but du traditionnel match en montante-descendante Descamps, 2008 est souvent de se dĂ©pĂȘcher » pour marquer le plus de points possibles. Dans ce cas, la question de la gestion du temps supplante celle de la gestion du score et modifie lâorganisation temporelle du jeu. Le jeu au temps », impose, de lâextĂ©rieur, un rythme soutenu dans la construction de lâĂ©change et dans lâenchainement des points qui peut ĂȘtre prĂ©judiciable Ă la construction de effet, Ă haut niveau, lâanalyse de Laffaye et al. 2015 sur la finale olympique du simple homme Ă Londres en 2012 montre que la construction du point ne privilĂ©gie pas les points courts 20 % des rallyes sont infĂ©rieurs Ă 3 sec., 25 % des rallyes sont compris entre 4 et 6 sec., 29 % des rallyes sont compris entre 7 et 12 sec. et 26 % des rallyes sont supĂ©rieurs Ă 13 sec.. Par ailleurs, lâenchainement des points nâest pas non plus mĂ©tronomique, la durĂ©e du temps de non-jeu est corrĂ©lĂ©e Ă la quantitĂ© de frappes effectuĂ©es dans le rallye prĂ©cĂ©dent Laffaye et al, 2015. Enfin, la durĂ©e du non-jeu et significativement plus Ă©levĂ©e chez les hommes que chez les femmes Cabello et al., 2004 ; Abian-Vicen et al., 2013.En dĂ©finitive, le rythme du match, câest-Ă -dire la perspective dynamique temporelle et Ă©nergĂ©tique de la mobilisation du joueur est, Ă de rares exceptions prĂšs SĂšve, 2000, complĂ©tement occultĂ©e de la didactique actuelle en sport de preuve, le non-jeu » ne fait jamais lâobjet dâarticles ou dâĂ©tudes. Dans lâesprit commun il semble ne pas faire partie du jeu⊠alors quâil est en badminton au moins un outil prĂ©cieux de gestion Ă©nergĂ©tique du match. Couartou & Grunenfelder, dĂšs 1992, pointaient cette spĂ©cificitĂ© de lâalternance pĂ©riode de jeu / pĂ©riode de non-jeu en badminton par rapport au tennis ou au tennis de table Le badminton est trĂšs sollicitant en terme dâĂ©nergie, il est indispensable de mĂ©nager des temps de rĂ©cupĂ©ration » p. 47. Ces auteurs mettaient dĂ©jĂ en garde contre une didactique qui minore le poids de lâaction contextuelle au profit de simplifications Ă©valuatives ⊠si la recherche dâune rupture dâĂ©change prĂ©coce peut ĂȘtre intĂ©ressante au tout dĂ©but de la pratique, la tactique de base du badminton, qui est de construire le gain de lâĂ©change en obligeant lâadversaire Ă se dĂ©placer, Ă se fatiguer⊠est oubliĂ©e » p. 148.Enfin, au plan de la performance, de nombreuses Ă©tudes rĂ©centes sâintĂ©ressent Ă la question du temps en sport de raquette et notamment en badminton AbiaÂŽn et al., 2014, Abian-Vicen et al., 2013 ; Cabello & Lees, 2004 ; Cabello Manrique & GonzĂĄlez-Badillo, 2003 ; Chen & Chen, 2008, 2011 ; Faude et al., 2007 ; Ming, Keong, & Ghosh, 2008. NĂ©anmoins ces recherches sont incomplĂštes dans la mesure oĂč elles restent descriptives, relatives au haut niveau et quâelles ne prennent pas en compte la dynamique du set ou du match liĂ©e Ă l'Ă©volution du rapport de selon la revue de littĂ©rature de Phomsoupha & Laffaye 2014 la durĂ©e moyenne dâun match est Ă©tablie Ă sec. pour les simples hommes et Ă sec. pour les simples dames, avec des durĂ©es moyennes de 600 sec. par set jouĂ©. Les auteurs fixent la moyenne des temps de jeu rally time Ă sec. chez les hommes et Ă sec. chez les femmes ; la moyenne des pĂ©riodes de non-jeu rest time Ă sec. pour les hommes et Ă sec. pour les femmes, et le temps effectif de jeu moyen effective playing time Ă % chez les hommes et % chez les donnĂ©es relatives, exclusivement au haut niveau, laissent Ă penser que la dynamique temporelle est une donnĂ©e stable. Or, rien ne laisse Ă penser que la structure temporelle en badminton » est la mĂȘme pour un novice, un dĂ©brouillĂ©, un confirmĂ©, un premiĂšre hypothĂšse est donc la suivante le niveau dâexpertise a un effet sur la structure plus, une lecture plus fine montre que ces rĂ©sultats ne sont pas homogĂšnes, un simple Ă haut niveau durant de 40 min. Cabello Manrique & GonzĂĄlez-Badillo, 2003 Ă 1 heure AbiaÂŽn et al., 2014 ; Cabello & Lees, 2004 ; Chen & Chen, 2008. Selon Laffaye, Phomsouvah & Dor 2015, le temps de jeu moyen est compris entre sec. et sec. et le temps de non jeu est compris entre sec. et sec. Abian- Vicen et al., 2013 ; Cabello & Lees, 2004 ; Cabello Manrique & GonzĂĄlez-Badillo, 2003 ; Chen & Chen, 2008 ; Faude et al., 2007 ; Ming, Keong & Ghosh, 2008. Quant au temps de jeu effectif, il est compris entre ± % Abian-Vicen et al., 2013 et ± % Chen & Chen, 2011.Ces diffĂ©rences peuvent sâexpliquer par un ensemble de facteurs que nous qualifierons dââexogĂšnesâ.Tout dâabord, les conditions de recueil des donnĂ©es ne sont pas toujours identiques contrairement aux autres Ă©tudes prĂ©citĂ©es, les travaux de Faude et al. 2007 concernent des matchs simulĂ©s et non des matchs en conditions rĂ©elles de compĂ©titions. Par ailleurs, on note de grandes variations en fonction de lâĂąge de la population experte les travaux de Ming et al. portent sur des jeunes internationaux mais aussi en fonction de lâĂ©poque Ă laquelle elles ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es. En effet, la forte augmentation relevĂ©e par AbiaÂŽn en 2013 Rally = 9,0 ± 0,9 sec. et Rest Time = 24,1 ± 3,8 sec., va dans le sens de lâĂ©tude longitudinale sur six finales olympiques masculines rĂ©alisĂ©e par Laffaye et al en 2015 Rally = 10,1 ± 0,7 sec. et Rest Time = 33,5 ± 1,5 sec.. Depuis 1996, la durĂ©e des rallyes mais surtout la durĂ©e du non jeu nâa cessĂ© dâaugmenter, alors que le temps effectif de jeu lui a fortement baissĂ© -34,5 %. Laffaye & Phomsouvah 2015 expliquent ces diffĂ©rences par le changement rĂ©glementaire de 2006 on passe de 2 sets gagnants de 15 points oĂč lâon ne pouvait marquer que sur son service, sans coaching autorisĂ© entre les points, Ă 2 sets gagnants de 21 points en tie-break avec coaching autorisĂ© entre les points et par un badminton moderne », plus offensif, qui prĂ©sente de plus en plus dâintensitĂ© dans le certains travaux portant sur le mĂȘme type de population et dans le mĂȘme contexte de recueil de donnĂ©es aboutissent Ă©galement Ă des donnĂ©es trĂšs hĂ©tĂ©rogĂšnes, ce qui laisse Ă penser quâil y a aussi des facteurs âendogĂšnesâ Ă ces diffĂ©rences de âtemporalitĂ©sâ.Liddle & OâDonoghue 1998 sâintĂ©ressent aux caractĂ©ristiques du badminton fĂ©minin et masculin durant la saison 1996 la durĂ©e des rallyes est comprise entre et sec. et les temps de non-jeu entre et sec. Une analyse du mĂȘme tournoi un an plus tard OâDonoghue, 2000 montre des diffĂ©rences significatives entre les deux saisons, particuliĂšrement la moyenne des rallyes masculins qui passe de sec. Ă sec. Plus rĂ©cemment, Pritchard et al. 2001, obtiennent des moyennes de rallyes masculins sur les Welsh Open de 1999 et 2000 conditions similaires de jeu, respectivement de et sec. Les rĂ©sultats de Cabello et Gonzales-Badillo, 2003 montrent des durĂ©es de rallyes autour de sec. Ces donnĂ©es montrent des variabilitĂ©s importantes dans le jeu entre des tournois Ă©lites dans un contexte pourtant similaire avant le changement de rĂšglement et sur un laps de temps trĂšs restreint 1998-2003.Par ailleurs, certains chercheurs ont essayĂ© de mettre en relation temps de jeu et non-jeu et lĂ aussi on note une forte variabilitĂ© dans les rĂ©sultats obtenus. Cabello Manrique & Gonzales-Badillo 2003 montrent une forte corrĂ©lation r = entre le temps de jeu et le temps de non jeu suivant. Ainsi, pour les auteurs, un Ă©change long nĂ©cessiterait une rĂ©cupĂ©ration plus longue, afin de recouvrer un seuil cardiorespiratoire favorable Ă lâengagement dans un nouveau rallye Fahimi & Vaezmousavi, 2011. NĂ©anmoins, les travaux de Laffaye et Phomsoupha 2015 viennent nuancer les conclusions de Cabello et al. avec une corrĂ©lation bien plus faible r = ; p11s Etape structurale 10 4 6 372 105 161 62 44 Etape fonctionnelle 10 10 0 373 89 208 65 11 Etape technique 10 6 4 347 50 233 52 12 Etape contextuelle 10 10 0 372 61 209 66 36 Etape dâexpertise 10 10 0 342 41 125 90 86 2. 2. 2. Classification des donnĂ©es en termes de dynamique de set 9Disposant des vidĂ©os, nous avons voulu investiguer la dynamique de jeu point par point, pour Ă©tudier comment le joueur, en fonction de son Ă©tape, gĂ©rait lâalternance jeu / non-jeu en termes de temps mais aussi en termes de quantitĂ© de mouvements. De plus nous avons sĂ©quencĂ© les points jouĂ©s en fonction de lâĂ©tat du rapport de force nous avons considĂ©rĂ© le joueur dominant quand il mettait 3 points consĂ©cutifs, dominĂ© quand il perdait 3 points consĂ©cutifs, pour le reste des points nous avons considĂ©rĂ© le rapport de force neutre. Enfin, nous avons isolĂ© les donnĂ©es du joueur en fin de set aprĂšs 15 points. 2. 2. 3. Mesure de la structure temporelle DurĂ©e 10Les enregistrements vidĂ©o des matchs nous ont permis dâisoler la durĂ©e des temps de jeu et de non-jeu pour chaque point jouĂ©. La variable dĂ©pendante retenue dans cette Ă©tude est le rapport entre le temps de jeu et le temps de non-jeu, puisque dans une perspective dynamique de gestion, le temps de non-jeu nâa de sens que par rapport au temps de jeu qui prĂ©cĂšde. Le rapport du temps en jeu sur le temps en non-jeu traduit le diffĂ©rentiel entre la durĂ©e passĂ©e dans lâĂ©change et la durĂ©e passĂ©e en dehors de lâĂ©change pour chaque point jouĂ©. Si ce rapport est supĂ©rieur Ă 1 le temps de non-jeu est plus court que le temps de jeu, si ce rapport est infĂ©rieur Ă 1, le temps de non-jeu est plus long que le temps de jeu. La moyenne de ces donnĂ©es par Ă©tape est rĂ©pertoriĂ©e dans le tableau 4. 2. 2. 4. Mesure de lâactivitĂ© physique IntensitĂ© 11Tous les participants ont portĂ© un accĂ©lĂ©romĂštre pendant un set de badminton 21 points en tie-break » sans prolongation. La seule consigne Ă©tait de jouer comme en match » en portant une ceinture Ă©lastique sur laquelle est fixĂ© lâaccĂ©lĂ©romĂštre GT3X situĂ© dans le bas du dos au niveau de la colonne vertĂ©brale, au contact de la peau Figure 1. Figure 1. Pose de lâaccĂ©lĂ©romĂštre 12Nous avons eu recours Ă lâaccĂ©lĂ©romĂ©trie Bailey, et al., 1995 ; Craig, et al., 2003 ; De Jonge, et al., 2007 pour quantifier lâactivitĂ© physique Chen & Bassett, 2005 ; Chu, McManus, & Yu, 2007 ; Rowlands, et al., 2004 ; Treuth, et al., 2004 ; Vanhelst, et al., 2010. Cette mĂ©thode de mesure objective et non invasive de lâactivitĂ© physique prĂ©sente lâavantage de pouvoir ĂȘtre utilisĂ©e dans les conditions habituelles de vie Vanhelst, et al., 2009, 2012b, 2012c, 2012d. Câest donc une mĂ©thode de choix qui est applicable en recherche clinique ou Ă©pidĂ©miologique pour des Ă©tudes de physiologie mais qui peut lâĂȘtre aussi en pĂ©dagogie puisquâelle permet une observation en condition rĂ©elle de jeu Dieu, et al., 2014 ; Silva, et al., 2015.LâaccĂ©lĂ©romĂštre utilisĂ© dans cette Ă©tude GT3X, Pensacola, FL, USA mesure lâactivitĂ© physique sur trois axes vertical, antĂ©ropostĂ©rieur, et mĂ©dio-latĂ©ral. La quantitĂ© dâactivitĂ© physique est alors calculĂ©e grĂące au vecteur magnitude VM qui est la racine carrĂ©e de la somme des counts enregistrĂ©s sur chaque vecteur X, Y et Z. Lâappareil a Ă©tĂ© calibrĂ© selon les spĂ©cifications du constructeur et paramĂ©trĂ© Ă la variable dĂ©pendante retenue dans cette Ă©tude est le rapport entre le vecteur magnitude en jeu et le vecteur magnitude en non-jeu, puisque dans une perspective dynamique de gestion, la quantitĂ© de mouvement dâune pĂ©riode de non-jeu nâa de sens que par rapport Ă la quantitĂ© de mouvement de la pĂ©riode de jeu qui prĂ©cĂšde. Ce rapport traduit le diffĂ©rentiel entre la quantitĂ© de mouvement engagĂ©e dans lâĂ©change et la quantitĂ© de mouvement engagĂ©e en dehors de lâĂ©change pour chaque point jouĂ©. Plus ce rapport est supĂ©rieur Ă 1, plus la quantitĂ© de mouvement engagĂ©e dans le non-jeu est faible par rapport Ă la quantitĂ© engagĂ©e en jeu. La moyenne de ces donnĂ©es par Ă©tape est rĂ©pertoriĂ©e dans le tableau V. 2. 3. Protocole 13LâĂ©tude sâest dĂ©roulĂ©e sur une pĂ©riode allant du 13 janvier au 26 avril 2012. Au dĂ©but du crĂ©neau dâentrainement dans lequel se dĂ©roulaient les mesures, les sujets repĂ©rĂ©s en amont comme appartenant Ă la mĂȘme Ă©tape conative Ă©taient informĂ©s de la possibilitĂ© dâĂȘtre mis Ă contribution pour une Ă©tude sur le badminton. Pour ne pas affecter la validitĂ© interne de lâĂ©tude, la thĂ©matique de lâapproche conative nâĂ©tait pas exposĂ©e. Les sujets volontaires se voyaient alors remettre un document rassemblant une lettre dâinformation et une fiche de consentement. Le protocole Ă©tait le suivant il sâagissait de jouer un set de badminton de 21 points sans prolongation, ni pause Ă la moitiĂ© du set, contre un adversaire imposĂ© en portant une ceinture accĂ©lĂ©romĂ©trique sur laquelle est fixĂ© lâactimĂ©tre GT3X positionnement de lâappareil en bas du dos au niveau de la colonne vertĂ©brale. Les participants Ă©taient filmĂ©s mais pour que lâinfluence de lâappareillage soit minime, le camĂ©scope Ă©tait placĂ© en dĂ©but de sĂ©ance derriĂšre un terrain afin que sa prĂ©sence soit Ă ce protocole et par le jeu des oppositions entre nos 40 sujets, nous avons pu recueillir 50 sets jouĂ©s Ă rapport de force homogĂšne, ce qui aboutit Ă 1806 donnĂ©es en termes de rallyes jouĂ©s. tableau III. 2. 4. Analyses statistiques 14Les donnĂ©es ont Ă©tĂ© dĂ©crites en termes de moyenne ; mĂ©diane [Ă©tendue] pour les variables quantitatives. Compte tenu que la plupart des variables quantitatives sont des variables discrĂštes avec des distributions asymĂ©triques, des tests non paramĂ©triques ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s. Le rythme du match, Ă savoir la durĂ©e et lâintensitĂ©, a Ă©tĂ© comparĂ© entre les Ă©tapes conatives et entre les rapports de force au sein de chaque Ă©tape sur le set total puis uniquement sur les valeurs en fin de set Ă lâaide du test de Kruskal-Wallis. Les comparaisons post-hoc deux Ă deux entre chaque Ă©tape conative successive ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es par un test du U de Mann-Whitney en appliquant la correction de Bonferroni pour comparaisons multiples. Les corrĂ©lations entre le temps de jeu et le temps de non-jeu en fonction des Ă©tapes conatives au global puis selon les durĂ©es des Ă©changes ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©es Ă lâaide du coefficient de corrĂ©lation des rangs de Spearman. Le niveau de significativitĂ© des tests a Ă©tĂ© fixĂ© Ă 5 %. Les donnĂ©es ont Ă©tĂ© analysĂ©es en utilisant le logiciel SAS version SAS Institute, Cary, NC. 3. RĂ©sultats 3. 1. RĂ©sultats globaux influence de lâĂ©tape sur le rythme du match 3. 1. 1. Concernant la durĂ©e 15La distribution du rapport du temps en jeu sur le temps en non-jeu ainsi que ses composantes est dĂ©crite par Ă©tape dans le tableau 4 et sur la figure 2. Le rapport jeu / non-jeu diffĂšre significativement entre les 5 Ă©tapes conatives p< Les comparaisons post-hoc deux Ă deux montrent que lâĂ©tape 4 a un rapport plus Ă©levĂ© que lâĂ©tape 3 p< et moins Ă©levĂ© que lâĂ©tape 5 p< Ainsi, le temps de non-jeu diminue significativement Ă lâĂ©tape 4 et augmente significativement Ă lâĂ©tape 5. Concernant les corrĂ©lations entre la durĂ©e du temps de jeu et la durĂ©e du repos qui suit tableau 5, aucune relation significative nâa Ă©tĂ© retrouvĂ©e, exceptĂ©e pour lâensemble des Ă©changes de lâĂ©tape 3 oĂč une relation nĂ©gative faible est ressortie significative rho = p = Tableau 4. Distribution de la durĂ©e en secondes pour chaque Ă©tape conative Etapes Structurale Fonctionnelle Technique Contextuelle Expertise p Temps de jeu ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; * < Temps de non jeu ; [ ; ; [ ; * ; [ ; ; [ ; * ; [ ; * < Rapport jeu / non-jeu ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; * ; [ ; * Les donnĂ©es sont prĂ©sentĂ©es en moyenne ; mĂ©diane [Ă©tendue].* p< pour les comparaisons post-hoc avec lâĂ©tape conative prĂ©cĂ©dente. Tableau 5. CorrĂ©lation entre le temps de jeu et le temps de non-jeu en fonction des Ă©tapes conatives et des durĂ©es des Ă©changes Structurale Fonctionnelle Technique Contextuelle Expertise Rho P Rho P Rho P Rho P Rho P Global Points courts Points moyens Points longs Points trĂšs longs 3. 1. 2. Concernant lâintensitĂ© 16Comme montrĂ© dans le tableau VI, le rapport VM jeu / non-jeu diffĂšre significativement entre les 5 Ă©tapes p<0,0001. Le rapport VM jeu / non-jeu augmente avec le niveau des Ă©tapes conatives avec des diffĂ©rences deux Ă deux significatives exceptĂ© entre les Ă©tapes 2 et 3. On observe particuliĂšrement une augmentation trĂšs nette du diffĂ©rentiel jeu / non-jeu de lâĂ©tape contextuelle 4 et Ă lâĂ©tape dâexpertise 5. Tableau 6. Distribution de lâintensitĂ© en counts pour chaque Ă©tape conative Etapes Structurale Fonctionnelle Technique Contextuelle Expertise p VM en jeu ; [ ; ; [ ; * ; [ ; ; [ ; * ; [ ; * < VM en non jeu ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; * ; [ ; * < VM jeu / VM non-jeu ; [ ; ; [ ; * ; [ ; ; [ ; * ; [ ; * < Les donnĂ©es sont prĂ©sentĂ©es en moyenne ; mĂ©diane [Ă©tendue].* p< pour les comparaisons post-hoc avec lâĂ©tape conative norme du vecteur magnitude VM, exprimĂ©e par la formule suivante VM = â xÂČ + yÂČ + zÂČ, nous renseigne sur la quantitĂ© de mouvement ou dĂ©pense Ă©nergĂ©tique en counts par seconde. 3. 2. RĂ©sultats dĂ©taillĂ©s influence du rapport de force et du moment du match pour chaque Ă©tape 3. 2. 1. Concernant la durĂ©e Tableau 7. Distribution du rapport de temps de jeu / non-jeu par Ă©tape en fonction du rapport de force Rapport de force durant le set Rapport de force en fin de set Etapes Global Dominant Neutre DominĂ© P Dominant Neutre DominĂ© P Structurale ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS Fonctionnelle ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS Technique ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS Contextuelle ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS Expertise ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; <.05 ; [ ; ; [ ; ; [ ; <.05 Les donnĂ©es sont prĂ©sentĂ©es en moyenne ; mĂ©diane [Ă©tendue]. 3. 2. 2. Concernant lâintensitĂ© Tableau 8. Distribution du rapport de vecteur magnitude de jeu / non-jeu par Ă©tape en fonction du rapport de force Rapport de force durant le set Rapport de force en fin de set Etapes Global Dominant Neutre DominĂ© P Dominant Neutre DominĂ© P Structurale ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS ; [ ; ; [ ; ; [ ; <.05 Fonctionnelle ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS Technique ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS Contextuelle ; [ ; ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS ; [ ; ; [ ; ; [ ; NS Expertise ; [ ; ; [ ; [ ; [ ; NS ; [ ; [ ; ; [ ; NS Les donnĂ©es sont prĂ©sentĂ©es en moyenne ; mĂ©diane [Ă©tendue]. 17LâĂ©volution du rapport de force ou le moment du match nâont une incidence sur le rythme de jeu quâĂ lâĂ©tape structurale 1 et Ă lâĂ©tape dâexpertise 5.Aux Ă©tapes fonctionnelle 2, technique 3 et contextuelle 4, sur le set global, le rapport temps de jeu / temps de non-jeu ainsi que le rapport VM jeu / VM non-jeu ne sont pas significativement diffĂ©rents entre les trois rapports de force. Il en est de mĂȘme si on isole les donnĂ©es de la fin du lâĂ©tape structurale, on ne note pas de diffĂ©rence par rapport aux autres Ă©tapes en termes de durĂ©e, par contre, au plan de lâintensitĂ©, en fin de set, on observe une diffĂ©rence significative le rapport VM jeu / VM non-jeu est, Ă rapport de force neutre, en moyenne de Ă rapport de force dominant de et Ă rapport de force dominĂ© de Ainsi le joueur sâagite davantage dans le non-jeu quand il domine et beaucoup moins quand il est dominĂ© en fin de lâĂ©tape dâexpertise, sur le set global, le rapport temps de jeu / temps de non-jeu est en moyenne significativement diffĂ©rent entre les trois rapports de force 0,95 quand le joueur domine ; 0,82 Ă rapport de force neutre ; 0,95 quand le joueur est dominĂ©. En fin de set, on observe la mĂȘme relation 0,93 quand le joueur domine ; 0,68 Ă rapport de force neutre ; 0,93 quand le joueur est dominĂ©. Ainsi, lâexpert temporise relativement quand le rapport de force est neutre, par contre il diminue le temps de non-jeu quand le rapport de force Ă©volue en sa faveur ou en sa dĂ©faveur.Au plan de lâintensitĂ©, le rapport VM jeu / VM non-jeu nâest pas significativement diffĂ©rent entre les trois rapports de force. Il en est de mĂȘme si on isole les donnĂ©es de la fin du set. 4. Discussion 18Afin dâapporter notre contribution aux Ă©tudes rĂ©centes Phomsoupha & Laffaye, 2014 qui sâintĂ©ressent Ă la question du temps en badminton uniquement chez lâexpert, comme si ce sujet lui Ă©tait exclusivement rĂ©servĂ©, nous souhaitions investiguer cette question du dĂ©butant Ă lâexpert Ă lâaide dâun modĂšle conatif Bui-XuĂąn, 1998, matĂ©rialisant lâexpĂ©rience en badminton sous formes dâĂ©tapes. Notre hypothĂšse principale Ă©tait que le niveau dâexpertise avait un effet sur la structure temporelle du plus, contrairement aux Ă©tudes prĂ©citĂ©es AbiaÂŽn et al., 2014, Abian- Vicen et al., 2013 ; Cabello & Lees, 2004 ; Cabello Manrique & GonzĂĄlez-Badillo, 2003 ; Chen & Chen, 2008, 2011 ; Faude et al., 2007 ; Ming, Keong, & Ghosh, 2008, nous souhaitions ici dĂ©passer une approche descriptive Laffaye et al., 2015 en nous inscrivant dans une perspective plus complexe. Dâune part, nous souhaitions mettre en relation ce qui se passe dans le jeu avec ce qui se passe dans le non-jeu dans une perspective dynamique. En effet, la durĂ©e du non- jeu ne peut sâapprĂ©hender ex nihilo mais bien en relation Ă©troite avec la durĂ©e de la phase de jeu qui prĂ©cĂšde. Câest pourquoi les variables retenues dans cette Ă©tude Ă©taient des rapports entre jeu et non-jeu. Dâautre part, nous ne souhaitions pas apprĂ©hender temps et intensitĂ© sĂ©parĂ©ment mais bien analyser les deux facteurs concomitamment Ă travers la notion de rythme de jeu Nous avons donc dĂ©fini la dynamique temporelle du set ou rythme du set comme la combinaison des diffĂ©rentiels de durĂ©e et dâintensitĂ© entre les pĂ©riodes de jeu et de la lueur de nos rĂ©sultats, notre hypothĂšse principale est vĂ©rifiĂ©e notre Ă©tude montre quâen fonction des prĂ©valences conatives, la structuration du ratio exercice/repos en badminton ou rythme du set a une spĂ©cificitĂ©. A lâĂ©tape 1, le joueur ne prend relativement que peu son temps dans les phases de non-jeu, de plus il sâagite relativement beaucoup. A lâĂ©tape 2, le rapport au temps nâĂ©volue pas par rapport Ă lâĂ©tape prĂ©cĂ©dente, par contre le joueur sâagite moins dans les phases de non-jeu. A lâĂ©tape 3, le rapport au temps ainsi que le diffĂ©rentiel dâintensitĂ© entre jeu et non-jeu nâĂ©volue pas par rapport Ă lâĂ©tape prĂ©cĂ©dente. En revanche Ă lâĂ©tape 4, le joueur accĂ©lĂšre le tempo mais sâagite relativement beaucoup moins dans le non-jeu. Enfin, Ă lâĂ©tape dâexpertise, le joueur temporise davantage par rapport Ă lâĂ©tape prĂ©cĂ©dente et sâagite beaucoup moins dans le note que câest bien Ă lâĂ©tape dâexpertise quâil y a une hausse significative de la durĂ©e du non-jeu. Ce rĂ©sultat est en phase avec les recherches qui montrent que lâexpertise se caractĂ©rise par une gestion temporelle du set Oâ Donoghue & Ingram, 2001. NĂ©anmoins nos rĂ©sultats en termes de corrĂ©lation entre temps de jeu et non-jeu apportent une nuance de taille car ils montrent quâil nây a pas de corrĂ©lation entre la durĂ©e du non-jeu et la pĂ©riode de jeu qui prĂ©cĂšde pour lâĂ©tape dâexpertise et ce, mĂȘme si on diffĂ©rencie les durĂ©es de points. Ces rĂ©sultats remettent en cause les conclusions de Cabello et al. 2003, dĂ©jĂ nuancĂ©s par Laffaye et al. 2015 et laissent Ă penser que la composante Ă©nergĂ©tique nâest pas suffisante pour expliquer la nature du non-jeu chez lâexpert. La durĂ©e du non-jeu est sĂ»rement davantage liĂ©e au contexte du jeu et donc Ă une dimension cette Ă©tude visait aussi Ă aborder la notion de rythme, en tenant compte des variations de contextes de jeu. Il sâagissait de voir si au sein dâune mĂȘme Ă©tape le rythme du set Ă©voluait en fonction de lâĂ©tat du rapport de force et/ou en fonction du moment du les Ă©tapes 2, 3 et 4, on ne note pas de diffĂ©rences significatives de rythmes en fonction des rapports de force neutre, favorable, dĂ©favorable que ce soit sur le set global ou en fin de set. Par contre, Ă lâĂ©tape 1, on note, quâen fin de set, au plan de lâintensitĂ©, le rapport VM jeu / VM non-jeu est significativement plus faible quand le joueur domine et inversement plus fort quand il est dominĂ©. A lâĂ©tape dâexpertise, on note une influence majeure de lâĂ©tat du rapport de force mais aussi du moment de set sur la durĂ©e des phases de non-jeu ce qui va dans le sens des rĂ©serves Ă©mises par Laffaye et al. 2015 concernant les rĂ©sultats de Cabello et al. 2003 sur la corrĂ©lation entre la durĂ©e des pĂ©riodes de non- jeu et la durĂ©e des pĂ©riodes de jeu qui prĂ©cĂ©dent. LâhypothĂšse tactique est donc bien Ă mettre Ă cĂŽtĂ© de lâhypothĂšse physiologique pour expliquer les variations dans les durĂ©es de non-jeu par rapport Ă la phase de jeu qui dĂ©finitive, notre Ă©tude nous amĂšne aux conclusions lâĂ©tape 1 structurale, le rythme du set est globalement soutenu, le joueur se mobilisant quasiment autant en non-jeu quâen jeu. Nous pourrions qualifier ce badiste de spectateur impatient ». La prĂ©occupation de rĂ©cupĂ©ration est ici inexistante. Le rythme sâaccĂ©lĂšre avec lâĂ©volution du score en fin de set et ne baisse que dans un seul contexte quand le joueur est dominĂ© en fin de set. Notre hypothĂšse ici est que lâĂ©motion du point marquĂ© guide le rythme du match en fin de set lâĂ©motion positive du point gagnĂ© guide le rythme Ă la hausse ; lâĂ©motion nĂ©gative du point perdu guide le tempo Ă la baisse. Ce rĂ©sultat tend Ă conforter le qualificatif dâ Ă©motionnel » que Bui-XuĂąn 1993, 1998 a donnĂ© Ă cette lâĂ©tape 2, le rythme gĂ©nĂ©ral du set baisse. Si le temps de non-jeu ne diminue pas de maniĂšre relative par rapport Ă lâĂ©tape prĂ©cĂ©dente, la quantitĂ© de mouvement dans la phase de non-jeu diminue significativement. NĂ©anmoins on nâobserve pas de variation du rythme malgrĂ© les variations de rapport de force. Il en est de mĂȘme en fin de set. A cette Ă©tape, la prĂ©occupation de rĂ©cupĂ©ration apparaĂźt mais elle reste formelle. Lâ alternateur » a intĂ©grĂ© la fonction de rĂ©cupĂ©ration du non-jeu un temps faible mais celle-ci est indiffĂ©renciĂ©e en fonction du rapport de force et du moment du lâĂ©tape 3, on ne note pas dâĂ©volution du rythme du set par rapport Ă lâĂ©tape nature de la rĂ©cupĂ©ration se diffĂ©rencie en Ă©tape 4. Si le joueur sâagite encore moins pendant les pĂ©riodes de non-jeu, la durĂ©e de celles-ci diminue significativement le joueur accĂ©lĂšre le tempo. Le joueur a compris quâon pouvait rĂ©cupĂ©rer tout en Ă©puisant lâadversaire. Par contre on nâobserve pas de variation du rythme en fonction de lâĂ©volution du rapport de force ou du moment du set. Le joueur dâĂ©tape 4, tel un rouleau-compresseur » impose un rythme mais lâĂ©tape 5, globalement, le joueur temporise Ă nouveau contrairement Ă lâĂ©tape prĂ©cĂ©dente et sâagite beaucoup moins encore dans les phases de non-jeu. Par contre il accĂ©lĂšre le tempo quand il domine ou quand il est dominĂ© tout en sâagitant trĂšs peu dans les phases de non-jeu. On observe la mĂȘme tendance en fin de set. A cette Ă©tape, la prĂ©occupation de rĂ©cupĂ©ration sâinscrit dans une rĂ©elle dynamique de set. Les notions de temps fort / temps faible » deviennent lâoutil du joueur expert qui tel un meneur » cherche Ă ne pas subir le rythme adverse Ă rapport de force neutre tout en imposant le sien aux moments opportuns mettre lâadversaire sous pression quand le rapport de force Ă©volue. Cette gestion de lâengagement en cours de set » lui permet de mettre encore du rythme Ă la fin, les cinq derniers points Ă©tant dĂ©cisifs. A cette Ă©tape le joueur dispose de son rythme, rythme quâil diffĂ©rencie en fonction des contextes. On peut ici parler de dynamique de set, dans laquelle le non-jeu est au service de la gestion du score. Si Laffaye et al. 2015 Ă©voquait lâaspect tactique et notamment la discussion avec le coach pour justifier un temps de non-jeu long mĂȘme aprĂšs un point court, nos rĂ©sultats tendent Ă montrer que lâexpert temporise certes pour des raisons tactiques, mais quâil peut accĂ©lĂ©rer aussi pour ces mĂȘmes raisons. 5. ConsĂ©quences pĂ©dagogiques 19En pĂ©dagogie, lâutilisation dâun jeu au temps, le mĂȘme pour tous et un temps souvent trĂšs court pour des scolaires, est Ă discuter puisque le rythme du jeu, câest-Ă -dire la structuration du ratio exercice/repos nâest pas uniforme mais varie selon le niveau dâexpertise. Lâintervenant lĂ©gitime souvent ces pratiques au temps en mettant en avant sa responsabilitĂ© dâoffrir un temps de travail moteur Ă©gal pour lâensemble des Ă©lĂšves Leveau, 2007. Si lâintention est louable, la montante-descendante au temps majoritairement utilisĂ©e en EPS semble Ă terme dĂ©mobiliser les Ă©lĂšves, notamment les filles, au fur et Ă mesure que la scolaritĂ© augmente Deslaurier, 2007 ; Dieu et al., 2016. Par ailleurs, le jeu au temps », systĂ©matique et indiffĂ©renciĂ©, est une pratique inĂ©quitable dans le cadre dâĂ©valuations de type recueils statistiques, basĂ©es sur le nombre de points jouĂ©s. En effet, comme le rapport au temps diffĂšre selon les Ă©tapes, un grand dĂ©butant aura de facto un nombre de points jouĂ©s plus faible quâun joueur de lâĂ©tape 2 ou 3, puisquâil fait significativement des Ă©changes plus pourquoi nous proposons de substituer Ă une responsabilitĂ© organisationnelle, une responsabilitĂ© didactique qui consiste Ă respecter la mobilisation des Ă©lĂšves, Ă savoir le sens profond quâils confĂšrent Ă leurs actions en fonction de leur prĂ©valence conative. En effet, pour respecter la valeur de la chose placĂ©e sous responsabilitĂ© Jonas, 1979, ici lâexpĂ©rience vĂ©cue de lâĂ©lĂšve, le respect de la mobilisation, câest-Ă -dire la spĂ©cificitĂ© la structuration du ratio exercice/repos, doit supplanter la simple volontĂ© de mise en action des lors, le jeu au temps est Ă manier avec prĂ©caution dans les stratĂ©gies dâenseignement du badminton sous peine dâimposer un rythme en discordance Bui-XuĂąn, 1998 avec lâĂ©tape conative du joueur et inhiber sa progression dans le pratique pĂ©dagogique peut ĂȘtre employĂ©e pour les joueurs de lâĂ©tape 1 qui nâont pas encore intĂ©grĂ© la fonction du non jeu si ce temps est long⊠En effet, ressentir la fatigue va les amener Ă se poser la question comment gagner sans ĂȘtre Ă©puisĂ© ? » et ainsi favoriser le passage Ă lâĂ©tape 2 qui consiste Ă diminuer la quantitĂ© de mouvements pendant les pĂ©riodes de partir de lâĂ©tape 2, le jeu au score doit reprendre le pas puisque le joueur a perçu lâutilitĂ© globale du non-jeu. Le jeu au temps en lâobligeant Ă enchaĂźner trĂšs vite pour ne pas perdre la course viendrait contrecarrer cette logique naissante. Enfin, pour accĂ©der Ă lâexpertise, nous prĂ©conisons de jouer sur des scores trĂšs courts simuler une fin de set ou avec des handicaps faire varier le rapport de force afin de construire les notions de temps forts oĂč le joueur met du rythme pour jouer les points rĂ©sultats doivent nĂ©anmoins ĂȘtre nuancĂ©s. En effet, la distinction dâĂąge et de sexe en tant que variables influençant la quantitĂ© de mouvement nâa pas Ă©tĂ© retenue. Or, certains auteurs ont montrĂ© que le sexe avait une influence sur lâintensitĂ© du match, en tennis notamment Fernandez, Mendez-Villanueva & Pluim, 2006. Par ailleurs, dans cette Ă©tude nâa pas Ă©tĂ© prise en compte la notion de style de jeu par absence de questionnement sur la stratĂ©gie du joueur. Ainsi, en perspective, la rĂ©alisation dâentretiens pour affiner lâanalyse tactique du set serait heuristique. Enfin, lâanalyse nâa portĂ© que sur un set, Ă©tendre lâexploration sur un match complet permettrait dâapprĂ©hender plus finement le contexte de jeu et son Ă©volution sur le long terme. 6. Conclusion 20Cette Ă©tude portait sur 40 joueurs de badminton de tous niveaux qui se sont opposĂ©s en contexte de match Ă©quipĂ©s dâun accĂ©lĂ©romĂštre triaxial. Ces joueurs ont Ă©tĂ© classĂ©s en fonction de leur expĂ©rience du badminton dans une des cinq Ă©tapes du curriculum conatif Bui-XuĂąn, 1998 ; Vanhelst, 2012a. Notre Ă©tude montre, quâen fonction des prĂ©valences conatives, la structuration du ratio exercice/repos en badminton ou rythme du set a une spĂ©cificitĂ©. De plus, au sein mĂȘme de certaines Ă©tapes, pour les experts et les grands dĂ©butants, on observe une variation de ces facteurs en fonction de lâĂ©volution du rapport de force et / ou du moment du y a donc des rythmes ou temporalitĂ©s qui se redĂ©finissent en fonction des intentions de jeu ou des contextes de pĂ©dagogie, lâutilisation du jeu au temps » fait quâune temporalitĂ© unique est subie par lâensemble des joueurs. Câest davantage la spĂ©cificitĂ© du jeu expĂ©rience du joueur, Ă©tat du rapport de force, moment du match qui devrait orienter le choix didactique entre jeu au temps / jeu au point afin dâenvisager la temporalitĂ© de maniĂšre plus responsable. Combiende temps dure en moyenne un match de volley ? L'annĂ©e derniĂšre, la durĂ©e moyenne d'un match de volley-ball Ă©tait d'une heure et 41. Cette annĂ©e, aprĂšs sept jours (pas tous terminĂ©s), la moyenne est jusqu'Ă prĂ©sent en ligne avec une heure et 45 minutes. Sur les sets individuels la moyenne est passĂ©e de 20 Ă 26 minutes (avec le Comment compte-t-on les points au volley-ball ? Quand une Ă©quipe marque-t-elle un point, quand perd-elle un point et combien de points faut-il pour gagner un set ? Le comptage des points au volley-ball est simple et repose sur les rĂšgles de base du volley-ball. DĂ©couvrez comment compter les points pendant un match ! Marquer des points ne fait pas tous au volley-ball Au volley-ball, comme dans tout jeu, tout est dĂ©terminĂ© par des rĂšgles particuliĂšres. Les joueurs doivent suivre des rĂšgles prĂ©cises, le terrain de volley-ball doit avoir des dimensions spĂ©cifiques et le filet doit ĂȘtre suspendu Ă une certaine hauteur. La notation est donc lâune des nombreuses rĂšgles. Si nous ne jouons pas au niveau professionnel, mais seulement de maniĂšre rĂ©crĂ©ative, compter les points au volley-ball nâest pas la chose la plus importante pour nous. Le volley-ball dĂ©veloppe la vitesse, les rĂ©flexes, la coordination, amĂ©liore la capacitĂ© de saut et est tout simplement un grand plaisir dâĂ©quipe. Compter les points dans le jeu rĂ©crĂ©atif nous montre les progrĂšs que nous faisons en tant quâĂ©quipe, mais ce nâest pas une fin en soi. En revanche, lorsque lâon joue Ă un niveau avancĂ© et professionnel, la notation du volley-ball est extrĂȘmement importante. Comment on compte les points au volley-ball ? Une Ă©quipe marque un point chaque fois quâelle place le ballon dans le terrain de lâadversaire. Cependant, la balle ne peut pas ĂȘtre en dehors des lignes marquant le terrain â il sâagit alors dâune faute. Une Ă©quipe marque Ă©galement un point si lâĂ©quipe adverse commet une erreur. Un point tombe Ă©galement dans le pot de lâĂ©quipe lorsque toute lâĂ©quipe adverse ou un seul de ses joueurs reçoit un avertissement officiel. Câest pourquoi les Ă©quipes se mĂ©fient fortement des cartons jaunes et rouges. Toute action qui nâest pas conforme aux rĂšgles du volleyball est considĂ©rĂ©e comme une erreur. Câest aux arbitres de dĂ©terminer si et quel type dâerreur a Ă©tĂ© commise. Toutefois, si deux ou plusieurs erreurs sont commises consĂ©cutivement, seule la premiĂšre erreur est comptabilisĂ©e. Si deux erreurs ou plus sont commises simultanĂ©ment par les Ă©quipes adverses, les arbitres prononcent une erreur bilatĂ©rale. Dans cette situation, lâensemble de lâaction est rĂ©pĂ©tĂ©e. Si lâĂ©quipe qui joue gagne lâaction, elle marque un point et a le droit de jouer Ă nouveau â jusquâĂ ce quâelle perde lâaction. Ensuite, lâĂ©quipe qui reçoit marque un point et prend le jeu suivant. Comment gagner un set au volley-ball ? Un match de volley-ball se joue en trois sets. Chaque set compte 25 points. Dans certaines situations, une Ă©quipe joue un cinquiĂšme set â de cette façon, il nây a pas dâĂ©galitĂ©. Dans cette variante, lâĂ©quipe qui atteint 15 points ou deux points de plus que lâĂ©quipe adverse dans le cas dâun jeu de puissance gagne. Un arbitre impartial compte les points dans chaque match de volley-ball. Le score est mis Ă jour en temps rĂ©el sur un tableau spĂ©cial qui permet de tenir le compte des points pendant toute la durĂ©e du match. Olivier Bonjour, je m'appelle Olivier Alexandre. Depuis tout petit je suis passionnĂ©e de sport et particuliĂšrement de sport d'hiver. En espĂ©rant que mes articles seront intĂ©ressants et pertinents. Bonne journĂ©e