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ï»żAlloCinĂ© DĂ©couvrez les meilleurs films et sĂ©ries de Paul Thomas Anderson Biographie Filmographie Top films/sĂ©ries Photos RĂ©compenses News VidĂ©os DĂ©couvrez les meilleurs films et sĂ©ries TV de Paul Thomas Anderson 1 Un prospecteur achĂšte des puits de pĂ©trole Ă  une famille qui vit dans un ranch. Bande-annonce noter de voir 2 Earl Partridge, age et malade, va bientot mourir. Il demande a son fidele infirmier de retrouver le fils qu'il a jadis abandonne. Sa jeune epouse, qui convoitait sa fortune, devrait se rejouir mais n'y parvient pas. Frank Mackey, jeune gourou cathodique de la seduction masculine, s'est construit un passe et une vie. Mais combien de temps le masque ... Bande-annonce noter de voir 3 Dans le Londres glamour des annĂ©es 50, le cĂ©lĂšbre couturier Reynolds Woodcock et sa sƓur Cyril sont au cƓur de la mode britannique, habillant la famille royale, les stars de cinĂ©ma, les hĂ©ritiĂšres, les mondains et les dames dans le style reconnaissable de la Maison Woodcock. Bande-annonce noter de voir 4 En 1977, le parcours d'un plongeur de boĂźte de nuit qui devient une star internationale du porno. Bande-annonce noter de voir 5 LICORICE PIZZA est l’histoire d’Alana Kane et Gary Valentine, deux adolescents qui grandissent, s’égarent et tombent amoureux dans la vallĂ©e de San Fernando, en 1973. Bande-annonce noter de voir
PaulThomas Anderson nous propose un retour aux années 70 pour nous raconter une singuliÚre romance. Un grand petit film ! 1973, dans la région de Los Angeles. Alana Kane et Gary Valentine font connaissance le jour de la photo de classe au lycée du garçon. Alana, 25 ans, est l'assistante du photographe. Gary, 15 ans, a déjà une petite expérience d'acteur, ce
Commentaires Anda 17/07/2010 073837 Le meilleur de cette génération. insight 17/07/2010 083841 Je te plussoie avec force. blazcowicz 17/07/2010 185640 Je double plussoie leprodiss 17/07/2010 185856 Je moinssoie. tadanobu 17/07/2010 190017 Je double moinssoie DarkToonLink 17/07/2010 190848 Le moins bon de cette génération. tadanobu 17/07/2010 191330 leprodiss 17/07/2010 191503 Un " chiasme inversé " DarkToonLink 17/07/2010 191537 Anda 17/07/2010 191820 Ok, retournez baver sur James Gray... Charger plus de messages123
InherentVice, Vice cachĂ© au QuĂ©bec, est un film policier amĂ©ricain coproduit, Ă©crit et rĂ©alisĂ© par Paul Thomas Anderson et sorti en 2014.Il est adaptĂ© du roman Vice cachĂ© (titre original : Inherent Vice) de l'Ă©crivain amĂ©ricain Thomas Pynchon paru en 2009.. Synopsis. En 1970 Ă  Los Angeles, le dĂ©tective privĂ© Larry « Doc » Sportello enquĂȘte sur la mystĂ©rieuse disparition du
PubliĂ© le vendredi 28 janvier 2022 Ă  16h19 Gary Cooper Hoffman et Alana Alana Haim Metro Goldwyn Mayer Pictures Inc. Critique. "Un chef-d'Ɠuvre !", "une mise en scĂšne de cinĂ©ma Ă  son meilleur" les superlatifs ne manquent pas pour qualifier le dernier film de Paul Thomas Anderson, “Licorice Pizza”. Pour nos critiques, l'AmĂ©ricain a su capturer magistralement les Ă©lans de cƓur de deux jeunes dans les annĂ©es 1970. “Licorice Pizza”, deux goĂ»ts le rĂ©glisse et la pizza, mais c’est aussi le nom familier qu’on donne aux vinyles. Autant de plaisirs rĂ©gressifs pour l’AmĂ©ricain Paul Thomas Anderson, rĂ©alisateur de Magnolia, plus rĂ©cemment de Phantom Thread. Le cinĂ©aste a voulu revenir sur sa jeunesse Ă  Los Angeles en suivant Gary, 15 ans – lycĂ©en hors norme de la banlieue d’Encino, un peu trop grand et trop Ă©pais pour son Ăąge, enfant-comĂ©dien qui cumule les shows tĂ©lĂ© – le jour de 1973 oĂč il croise Alana, de dix ans son aĂźnĂ©e, qui cherche sa voie mais fait preuve d’une Ă©tonnante ouverture d’esprit. Pour lui, c’est le coup de foudre, l’amour au premier regard. De quoi parle le film "Licorice Pizza" ? Nous sommes Ă  Los Angeles dans les annĂ©es 1970. Alana Kane et Gary Valentine font connaissance le jour de la photo de classe au lycĂ©e du garçon. Alana n’est plus lycĂ©enne, mais tente de trouver sa voie tout en travaillant comme assistante du photographe. Gary, lui, a dĂ©jĂ  une expĂ©rience d’acteur, ce qu’il s’empresse de dire Ă  la jeune femme pour l’impressionner. AmusĂ©e et intriguĂ©e par son assurance hors norme, elle accepte de l’accompagner Ă  New York pour une Ă©mission de tĂ©lĂ©vision. Mais rien ne se passe comme prĂ©vu
 Les avis de nos critiques JĂ©rĂŽme Momcilovic, critique de cinĂ©ma "C'est un film merveilleux que je me suis dĂ©pĂȘchĂ© de revoir"Si les distributeurs s'amusent souvent Ă  associer aux affiches de film des qualitatifs dithyrambiques, ici, cela semble mĂ©ritĂ©. Pour JĂ©rĂŽme Momcilovic, critique de cinĂ©ma, "c'est un film jubilatoire. On a envie de vivre dedans. C'est vraiment exactement ça. C'est un film qui est Ă  la fois limpide, trĂšs simple Ă  raconter. Un jeune homme rencontre une jeune femme, on se doute que le film va vers une entente amoureuse, et en mĂȘme temps, le film ne cesse de surprendre." Le film est une longue course, une espĂšce d'odyssĂ©e "On est un peu douchĂ© par l'Ă©motion Ă  la fin et c'est trĂšs compliquĂ© de retracer l'itinĂ©raire qu'on a parcouru et comprendre par oĂč s'est faufilĂ©e cette Ă©motion. Il y a une vie dans ce film et dans ses personnages qui est trĂšs rare et qui, a fortiori, Ă©tait devenue trĂšs rare dans le grand cinĂ©ma amĂ©ricain." Cet aspect est sans doute renforcĂ© par le choix des acteurs. Les deux personnages sont interprĂ©tĂ©s par Alana Haim et Cooper Alexander Hoffman, fils de l'acteur Philip Seymour Hoffman. Deux comĂ©diens Ă  peu prĂšs inconnus du cinĂ©ma, loin des canons de la grosse industrie hollywoodienne. Ce qui participe trĂšs probablement au fait que le film soit aussi vivant. Bradley Cooper, Ă  gauche, Cooper Hoffman et Alana Haim dans la scĂšne du camion “Licorice Pizza.”Credit MGM Thierry ChĂšze, rĂ©dacteur en chef du magazine PremiĂšre "L'annĂ©e 2022 peut s'arrĂȘter lĂ  puisqu'on aura vu le meilleur film"Le critique Thierry ChĂšze est lui aussi totalement embalĂ© par ce film. Paul Thomas Anderson Ă©vite l'Ă©cueil de la nostalgie lourde en braquant sa camĂ©ra sur les annĂ©es 1970 Ă  Los Angeles "Paul Thomas Anderson ne dit pas 'Wow, c'Ă©tait tellement mieux avant. C'est vraiment dommage que vous n'ayez pas vĂ©cu ça'. Il exprime une nostalgie tellement joyeuse et pĂ©tillante parce qu'il laisse vraiment la parole Ă  ses personnages qui sont en train de dĂ©couvrir quelque chose. Ils ont l'Ăąge de toutes les dĂ©couvertes possibles, de prendre tous les chemins. Toutes les pĂ©ripĂ©ties sonnent justes. Le film possĂšde une logique trĂšs forte." Le personnage interprĂ©tĂ© par Alana Haim est assez inĂ©dit dans ce qu'offre Ă  voir habituellement le cinĂ©ma hollywoodien des femmes il a une singularitĂ© incroyable, au point d'avoir sa vie propre, au sein mĂȘme du film. "Elle a un charisme et un physique qui n'appartiennent pas au cinĂ©ma amĂ©ricain, au teen movie, explique Thierry ChĂšze. Ce n'est pas un personnage qu'on a l'habitude de voir et donc tous les possibles sont lĂ . Et il se trouve qu'au-delĂ  de ce physique et au-delĂ  de ce qu'elle dĂ©gage, il y a une interprĂ©tation folle." Et maintenant, Ă  vous de vous faire votre avis ! Dautres de films de Paul Thomas Anderson disponibles sur Netflix : Inherent meilleur mixage de son et meilleurs effets visuels. D’autres films de Nolan disponibles sur Netflix : Batman

Le best of cinĂ©ma du premier semestre 2018, avec des monstres, de la haute couture, des chiens, beaucoup de coups de boules et deux Spielberg. C'est l'Ă©tĂ©, et vous savez ce que ça veut dire le bac, la coupe du monde de foot, les vacances et le top cinĂ©ma 2018. DĂ©jĂ  ? Il s'agit Ă©videmment de classer les meilleurs films sortis au premier semestre de l'annĂ©e, de faire un bilan d'Ă©tape avant le break estival. Jusqu'Ă  la garde de Xavier Legrand Un divorce, une garde partagĂ©e. Une dĂ©rive familiale atrocement banale qui vire au film d'horreur. Le premier film de Xavier Legrand est une bombe, d'une perfection quasi-absolue, qui s'inscrit dans un cadre rĂ©aliste et sociologiquement prĂ©cis pour mieux vous planter dans le bide une force de cinoche en acier trempĂ©. la critique complĂšte est ici Ready Player One de Steven Spielberg Transcendant de son postulat ĂŒbergeek, Spielberg livre un vrai film d'auteur qui dessine en creux son autoportrait complexe. CinĂ©aste sincĂšre, businessman Ă  l'allure de dĂ©miurge, ogre pop qui a dĂ©fini son Ă©poque... Ready Player One est aussi un film de fou, oĂč Spielberg enquille tranquillement des morceaux de bravoure Ă©bourrifants la course de bagnoles d'ouverture, la réécriture de Shining comme s'il avait fait ça toute sa vie. Ca tombe bien, c'est le cas. la critique complĂšte est ici Mektoub My Love Canto Uno d'Abdellatif Kechiche Kechiche dĂ©pouille son cinĂ©ma de tout ce qui pourrait l'encombrer les vĂȘtements, le filtre social ce qui pourrait l'encombrer pour livrer un rĂ©cit d'apprentissage lumineux et chamanique. Une cĂ©lĂ©bration frĂ©nĂ©tique du sexe et de la vie. Sublime. la critique complĂšte est ici Phantom Thread de Paul Thomas Anderson Quand Anderson filme les nĂ©vroses d'un couturier vampirique dans les annĂ©es 50, ça donne un pur film de style, sans hystĂ©rie auteurisante, oĂč l'on chuchote, on se frĂŽle, on se concentre. Tout est intĂ©rieur. Un trĂšs grand film sur la maĂźtrise de soi, et la maĂźtrise de son art. la critique complĂšte est ici La Forme de l'eau de Guillermo Del Toro Film muet, film de monstres, film d'amour, film d'espionnage, film d'horreur, film noir... Guillermo Del Toro parvient Ă  fusionner tous les genres de cinĂ©ma dans une Ă©blouissante symphonie. Un triomphe total. la critique complĂšte est ici Battleship Island de Ryoo Seung-wan L'histoire vraie d'une Ă©vasion d'une Ăźle-prison japonaise pendant la DeuxiĂšme guerre mondiale. Un film grandiose et furieux, opulent jusque dans ses monstrueuses batailles rangĂ©es. Un peu comme une version cinĂ©ma de la plus belle symphonie de heavy metal. la critique complĂšte est ici 3 Billboards - Les Panneaux de la vengeance de Martin McDonagh Une fable philosophique, morale, politique, drĂŽle et noire, qui a donnĂ© Ă  Frances McDormand son plus beau rĂŽle depuis Fargo et qui permet aussi Ă  Sam Rockwell de donner la performance de sa vie, tant qu'on y est. Tout ça ? Mais oui. la critique complĂšte est ici Everybody Knows d'Asghar Farhadi Des stars, l’Espagne et un suspens digne d'Ingmar Bergman Farhadi pose ses camĂ©ras loin de l’Iran pour mieux rĂ©affirmer son style et ses obsessions. Everybody Knows est un grand drame psychologique verrouillĂ©, maĂźtrisĂ©. la critique complĂšte est ici Pentagon Papers de Steven Spielberg Un superbe film de suspense en hommage Ă  une presse libre, beau et intemporel comme un fragment du classicisme hollywoodien oubliĂ©. L'autre Spielberg de 2018 oĂč Steven s'affirme aussi comme un hĂ©ritier de John Ford et Frank Capra. la critique complĂšte est ici Call Me by Your Name de Luca Guadagnino Une histoire d'amour dans l'Ă©tĂ© italien. Simple comme bonjour, et pourtant Luca Guadagnino parvient Ă  donner Ă  Call Me by Your Name la stature d'une odyssĂ©e du paradis perdu d'un Ă©rotisme fou. Qu'est-ce que c'est beau. la critique complĂšte est ici Annihilation d'Alex Garland DiifusĂ© sur Netflix en France mais au cinĂ©ma aux Etats-Unis, Annihilation a peut-ĂȘtre souffert de son petit format. Alors qu'il s'agit clairement d'un classique de SF immĂ©diat ce trip dans une terre hostile contaminĂ©e par une force alien est Ă  la fois un labyrinthe oĂč l'on s'Ă©gare, et un miroir qui rĂ©vĂšle notre ignorance face Ă  l'univers. la critique complĂšte est ici La Douleur d'Emmanuel Finkel Les mots de Marguerite Duras, la mise en scĂšne d’Emmanuel Finkiel, l’interprĂ©tation de MĂ©lanie Thierry. Trois Ă©lĂ©ments qui font de La Douleur, rĂ©cit violent d'un amour sous l'Occupation, un film exceptionnel de puissance. la critique complĂšte est ici L'Apparition de Xavier Giannoli Voir ou ne pas voir ? Croire ou ne pas croire ? Pas si simple, nous dit Giannoli qui, sans dĂ©laisser son entreprise de mystification-mythification, s’arrime Ă  l’humain pour mieux en faire ressortir la part de lumiĂšre. L’Apparition jongle avec les genres et la multiplicitĂ© des niveaux de lecture dont l’enchevĂȘtrement procure un fascinant sentiment mĂȘlĂ© d’évidence et de perplexitĂ©. la critique complĂšte est ici L'Ile aux Chiens de Wes Anderson Imaginez Les Douze salopards d’Aldrich, incarnĂ©s par des chiens, dans un Japon rĂ©tro-futuriste et bilingue. A priori hĂ©tĂ©rogĂšnes, ces Ă©lĂ©ments s’intĂšgrent parfaitement aux motifs habituels de Wes Anderson, aussi bien formels que thĂ©matiques. Ça a de la gueule. la critique complĂšte est ici HĂ©rĂ©ditĂ© d'Ari Aster Ari Aster a su compiler et utiliser Ă  leur effet maximum les effets son, image et surtout thĂšmes les plus flippants de l'arsenal du cinĂ©ma d'horreur. HĂ©rĂ©ditĂ© est vĂ©ritablement et purement terrifiant. la critique complĂšte est ici Une PriĂšre avant l'aube de Jean-StĂ©phane Sauvaire Un film de prison transcendental, lumineux, aussi primitif et Ă©vident qu'un bon coup de boule. Ça rĂ©veille et ça fait un bien fou, en fait. la critique complĂšte est ici

QuantĂ  Thomas Jane, d’abord acteur de théùtre dans les annĂ©es 80, il obtient des seconds rĂŽles dans des films comme Boogie Nights de Paul Thomas Anderson, qu’il retrouvera pour Magnolia, ou bien encore comme La Ligne rouge de Terence Malick oĂč il incarne un soldat mourant aux cĂŽtĂ©s de Sean Penn. Il devient une tĂȘte d’affiche avec Peur bleue, un film Le site World of Reel a interrogĂ© 250 critiques de diverses nationalitĂ©s en leur demandant d’établir leur classement des meilleurs films sortis au cours des annĂ©es 2010. Une fois les rĂ©sultats reçus, le site a procĂ©dĂ© Ă  leur agrĂ©gation pour obtenir un classement, lequel place Mad Max Ă  la premiĂšre place. 1. Mad Max Fury Road de George Miller Gros succĂšs critique et public Ă  sa sortie en 2015, le film Ă©tait citĂ© par 1/4 des votants et n’a devancĂ© Tree of life que de 9 voix. Ca tient Ă  quoi la premiĂšre place, hein ? 2. Tree of life de Terrence Malick Des dinosaures, la terre, Brad Pitt et la vie de banlieue. Un cocktail parfait pour le dernier bon film de Terrence Malick qui est passĂ© d’une ambiance je fais un film tous les 15 ans » Ă  une ambiance assez distincte je fais un film tous les six mois. » 3. Moonlight de Barry Jenkins Grand gagnant des Oscars 2017 au dĂ©triment de LalaLand, le film de Barry Jenkins a reçu 44 votes. Milieu social pauvre, droit Ă  la diffĂ©rence, tout est lĂ  pour scorer. 4. Boyhood de Richard Linklater La vie d’une famille sur 20 ans tournĂ©e sur 20 ans. Une idĂ©e Ă©videmment gĂ©niale au dĂ©part qui permet Ă  ce film, quelle que soit sa qualitĂ© inhĂ©rente, d’occuper un statut Ă  part dans le cinĂ©ma contemporain. 5. The Social Network de David Fincher RĂ©cit romancĂ© quoiqu’assez fidĂšle de la crĂ©ation de Facebook et scĂ©narisĂ© par Aaron Sorkin, le film de Fincher qui n’a jamais fait un mauvais film depuis Alien 3 est important aussi dans sa forme et par sa capacitĂ© Ă  traiter d’un sujet trĂšs abstrait tout en lui insufflant du romanesque. 6. The Master de Paul Thomas Anderson Joaquin Phoenix sous le charme du gourou Philip Seymour Hoffman. Je ne vous cacherai pas que Paul Thomas Anderson est mon rĂ©alisateur prĂ©fĂ©rĂ©, donc je suis assez content de voir un de ses films dans le top 10, mĂȘme si Ă  mon sens ce n’est pas le plus puissant. M’enfin, dĂ©jĂ , les acteurs
 7. Roma d'Alfonso Cuaron Netflix aussi est Ă  la fĂȘte avec Roma, premier grand projet directement financĂ© par la plateforme, primĂ© Ă  Venise et comptant Ă  la rĂ©alisation sur un grand rĂ©alisateur respectĂ© par les cinĂ©philes. Noir et blanc, Mexique, enfance. Fellini dans un autre pays – la fantaisie en moins. 8. Phantom Thread de Paul Thomas Anderson Yipeee il classe un deuxiĂšme film ! PTA a rĂ©alisĂ© avec Phantom Thread un chef d’oeuvre formel absolument fascinant, mĂȘme si je comprends que les non-fanzouzes du rĂ©alisateur aient pu trouver ça chiant. De toute façon, quand y’a Daniel Day Lewis au casting, on sait que ce sera un succĂšs critique. 9. Une sĂ©paration d'Asghar Farhadi Le film qui a lancĂ© la carriĂšre internationale d’Asghar Farhadi a reçu pĂšle-mĂȘle l’Ours d’or du meilleur film, le CĂ©sar du meilleur film Ă©tranger, l’Oscar du meilleur film et un accueil critique de dingue. Une des rares fois oĂč le cinĂ©ma venu d’Iran n’est pas misĂ©rabiliste politique, oui, mais pas misĂ©rabiliste. 10. Inside Llewyn Davis des frĂšres Coen Grand Prix Ă  Cannes en 2013, ce rĂ©cit ironique d’un chanteur folk tellement droit dans ses bottes qu’il en devient insupportable et se mĂšne lui-mĂȘme Ă  l’échec est un condensĂ© de tout l’art des frĂšres Coen qui savent mieux que quiconque ridiculiser leurs personnages bouffis d »orgueil et sympathiques malgrĂ© leur stupiditĂ©. Dans la mĂȘme veine et toujours des Coen, ma prĂ©fĂ©rence va Ă  A Serious man, mais on ne parle pas de la mĂȘme audience non plus.
En2007, Paul Thomas Anderson revient avec un monstre, une Ɠuvre kubrickienne et furieuse intitulĂ©e There Will Be Blood.A des annĂ©es lumiĂšres de ses films prĂ©cĂ©dents, le film est portĂ© par
Les annĂ©es 70, la San Fernando Valley, un garçon qui rencontre une fille
 Paul Thomas Anderson n’aurait-il pas dĂ©jĂ  fait ce film-lĂ  ? Avec Licorice Pizza, le rĂ©alisateur est trĂšs clairement de retour sur les terres de Boogie Nights, Magnolia et Punch-Drunk Love, sa trilogie de la VallĂ©e de San Fernando », du nom de cette gigantesque banlieue de Los Angeles oĂč il a grandi, sĂ©parĂ©e du reste de la ville par les collines de Hollywood. PTA revient Ă  ses premiĂšres amours, donc, aprĂšs avoir beaucoup voyagĂ© dans le temps et dans l’espace, de la Californie du dĂ©but du XXĂšme siĂšcle There Will Be Blood au Londres fashion des annĂ©es cinquante Phantom Thread, en passant par l’AmĂ©rique traumatisĂ©e de l’aprĂšs-Seconde Guerre mondiale The Master et celle, dĂ©foncĂ©e, de l’aprĂšs-68 Inherent Vice. Long pĂ©riple esthĂ©tique au cours duquel il se sera dĂ©finitivement dĂ©barrassĂ© de l’influence Ă©crasante de ses maĂźtres Altman, Kubrick, Scorsese et imposĂ© comme l’un des grands sphynx du cinĂ©ma US contemporain. La premiĂšre beautĂ© de Licorice Pizza est de le voir revenir au monde de sa jeunesse, de son apprentissage, riche de la hauteur de vue stylistique qui est dĂ©sormais la sienne, et dĂ©barrassĂ© ce qui plombait ses premiers longs mĂ©trages, cette envie de bander les muscles, de montrer sa force. Ce neuviĂšme opus clame l’envie d’ĂȘtre comme un premier film, comme une premiĂšre fois, une nouvelle Ɠuvre de jeunesse, depuis son argument une romance un peu weirdo qui commence au lycĂ©e, le jour de la photo de classe jusqu’à son fabuleux duo de dĂ©butants en tĂȘte d’affiche Alana Haim, musicienne que PTA avait dĂ©jĂ  dirigĂ©e dans des clips mais qui n’avait jamais jouĂ© la comĂ©die, et Cooper Hoffman, fils de Philip Seymour Hoffman, qui fait ses dĂ©buts Ă  l’écran. Licorice Pizza sera donc un film de pur plaisir, loin des casse-tĂȘte mĂ©taphysiques parfois intimidants dont son auteur avait fini par se faire une spĂ©cialitĂ©, une balade seventies donnant l’impression d’avoir Ă©tĂ© tournĂ© les mains dans les poches, un sourire rĂȘveur aux lĂšvres. L’argument ? Boy meets girl. Lui, Gary Valentine, est un ado acteur, beau parleur, un peu frimeur. Elle, Alana Kane, dans sa vingtaine, est un peu trop vieille pour lui, mais va tomber sous le charme de son bagout, tout en prenant un malin plaisir Ă  lui tenir tĂȘte. S’ensuivent des aventures Ă  la fois anecdotiques et totalement homĂ©riques, dĂ©risoires et grandioses – comme Ă  peu prĂšs tout ce qui arrive Ă  ces Ăąges-lĂ . Gary se lance dans le commerce de matelas Ă  eau, un business en plein essor dans un encore parfumĂ© au patchouli, puis tente d’aider Alana Ă  percer dans le milieu du cinĂ©ma, avant que les deux ne se retrouvent Ă  travailler pour la campagne Ă©lectorale d’un candidat Ă  la mairie de Los Angeles. C’est tout ? Ah, oui Gary va aussi ouvrir une salle de flippers. Et la Californie va subir de plein fouet les effets du premier choc pĂ©trolier. On reconnaĂźtra dans le dĂ©roulĂ© apparemment sans queue ni tĂȘte de cette histoire le goĂ»t d’Anderson pour une forme de surrĂ©alisme light, poĂ©sie absurde de fumeur de joints et d’admirateur de Pynchon, qui enchaĂźne les situations bizarroĂŻdes comme on passe du coq Ă  l’ñne. Licorice Pizza obĂ©it Ă  une logique enfantine et se dĂ©roule dans un monde dont les adultes sont quasiment absents – un peu comme si le Neverland de Peter Pan avait Ă©tĂ© dĂ©localisĂ© dans les faubourgs de Hollywood. Et quand les vieux entrent en scĂšne, ils sont en gĂ©nĂ©ral montrĂ©s comme des figures bouffonnes, ou bigger than life, irrĂ©elles dans tous les cas – extraordinaires apparitions de Sean Penn, Tom Waits et Bradley Cooper en fossiles show-biz. C’est un monde oĂč les whizz-kids, les gamins plus malins que la moyenne, font la loi et inventent leurs propres rĂšgles. Alana et Gary s’essaieront tour Ă  tour Ă  la libre entreprise, Ă  l’entertainment et Ă  la politique une sorte de trilogie des grandes occupations amĂ©ricaines, des promesses californiennes, mais envisagĂ©es ici comme des passades, de simples divertissements teenage. Comme si le rĂȘve amĂ©ricain, celui aprĂšs lequel court la plupart des personnages de PTA jusqu’à en devenir fous, n’était au fond qu’un jeu. Reconstituant ici le paysage de son enfance il avait trois ans en 1973, dirigeant le fils de son acteur fĂ©tiche dĂ©cĂ©dĂ©, invitant ses propres enfants et sa femme Maya Rudolph Ă  l’écran, multipliant les clins d’Ɠil aux dynasties hollywoodiennes apparitions de la fille de Spielberg et du papa de Leonardo DiCaprio !, Paul Thomas Anderson ne signe pas forcĂ©ment pour autant ici son Once upon a time
 in Hollywood. La clĂ© secrĂšte de Licorice Pizza est peut-ĂȘtre biographique, intime, mais le film est beaucoup moins grevĂ© par la mĂ©lancolie d’un monde disparu que le Tarantino. Au contraire il semble empli de la joie simple de pouvoir le reconstituer, puis l’explorer Ă  loisir. Les rĂ©fĂ©rences culturelles, surtout, sont beaucoup moins surplombantes que chez QT. Il y a certes ici plein de clins d’Ɠil pour encyclopĂ©distes pop, des memorabilia en pagaille, des marquises de cinĂ©ma annonçant le dernier James Bond
 On apprĂ©ciera sans doute encore plus le film si on reconnaĂźt Jon Peters producteur, coiffeur pour stars et ex-mari de Barbra Streisand derriĂšre l’accoutrement de Bradley Cooper, si on regarde le personnage jouĂ© par Sean Penn comme un miroir dĂ©formant de William Holden, ou si on a dĂ©jĂ  entendu parler de Lucille Ball ou du politicien Joel Wachs. Mais tout est fait de maniĂšre tellement dĂ©contractĂ©e que le plaisir n’est jamais parasitĂ© par l’avalanche citationnelle. A l’image de ce titre, Licorice Pizza. A l’origine, il dĂ©signe une chaĂźne de magasins de disques des annĂ©es 70-80, dans lesquels on imagine que PTA allait faire ses emplettes quand il Ă©tait ado. Mais on ne croise pas une seule de ces glorieuses Ă©choppes dans le film. La pizza au rĂ©glisse » n’est pas une enseigne, pas un nom de code pour happy few, mais un Ă©tat d’esprit. Elle dĂ©signe le monde irrĂ©el des souvenirs, ce sentiment que tout peut arriver et que l’étĂ© pourrait ne jamais finir. Une croyance adolescente que peu de films auront aussi glorieusement capturĂ©e que celui-ci.
Tropcomplexe et parfois dĂ©routant, Inherent Vice est la seule «miss» du portefeuille de Paul Thomas Anderson. ConcentrĂ© sur un PI droguĂ© dans les annĂ©es 1970 Ă  Los Angeles alors qu’il tente de retrouver son ancien CinĂ©aste, Etats-Unis Paul Thomas Anderson, nĂ© le 26 juin 1970 Ă  Studio City en Californie États-Unis, est un scĂ©nariste, rĂ©alisateur et producteur amĂ©ricain. Fils d’un doubleur travaillant Ă  Hollywood, Paul Thomas Anderson est un enfant turbulent d’une fratrie de sept trois sƓurs ainsi que cinq demi-frĂšres et sƓurs. Il est le seul d’entre eux Ă  avoir poursuivi dans le show-business. Il reçoit de son pĂšre sa premiĂšre camĂ©ra Ă  12 ans. Il dĂ©cide trĂšs tĂŽt de devenir cinĂ©aste et rĂ©alise de nombreux petits films amateurs. Parmi eux, Ă  18 ans, il rĂ©alise The Dirk Diggler story dont il reprendra l’histoire dans une partie d’un de ses films Boogie Nights 1997. Pour autant, il refuse le chemin prĂ©vu dans une Ă©cole de cinĂ©ma la pourtant reconnue New York University School pour prĂ©fĂ©rer apprendre directement sur le terrain il quitte l’école de cinĂ©ma aprĂšs deux jours et investit les fonds des cours pour aller Ă  Los Angeles. Il commence Ă  la tĂ©lĂ©vision comme assistant de production sur des tĂ©lĂ©films et des jeux tĂ©lĂ©visĂ©s expĂ©rience qu’il utilisera pour Magnolia. C’est Ă  cette Ă©poque qu’il tourne Cigarettes & Coffee, court-mĂ©trage avec Philip Baker Hall qui sera remarquĂ© dans des festivals et en particulier Ă  celui de Sundance 1993. Cette histoire de personnages qui se croisent dans un cafĂ© prĂ©figure le thĂšme de la rencontre et le style choral qu’il affectionnera par la suite. Cigarettes & Coffee va lui permettre d’obtenir le financement pour mettre en route son premier vrai film Sydney. Ce premier film est prĂ©sentĂ© au festival de Cannes 1996. Fort de ce succĂšs et avec des moyens plus importants — un budget de 15 millions de dollars — il reprend le script de son premier court-mĂ©trage, Boogie Nights. On commence alors Ă  comparer son cinĂ©ma Ă  celui de Martin Scorsese et Robert Altman. Si les critiques sont parfois sĂ©vĂšres on Ă©voque la prĂ©tention et le plagiat, d’autres au contraire relĂšvent la naissance d’un futur grand cinĂ©aste Newsweek, New York Times ou Los Angeles Times. Ce succĂšs lui permet d’enchainer rapidement avec un film sur lequel il a un grand contrĂŽle tant pour le casting, la durĂ©e du film que le montage. Un peu plus de deux ans aprĂšs Boogie Nights, sort Magnolia en dĂ©cembre 1999 pour concourir aux Oscars avec la confiance de son distributeur. Le film n’est pas retenu dans les favoris, mais glane trois nominations scĂ©nario, second rĂŽle pour Tom Cruise et musique non converties, mais aussi l’Ours d’Or au festival de Berlin 2000 et surtout la reconnaissance d’une partie de la profession et des critiques. Afin de garder le meilleur contrĂŽle possible de ses films, il crĂ©e rapidement sa maison de production qu’il nomme Ghoulardi » en hommage au personnage de sĂ©rie B d’horreur que son pĂšre avait créé pour un feuilleton de la tĂ©lĂ©vision de Cleveland. En 2002, il change de registre une nouvelle fois, abandonnant le ton amer et le film choral pour la comĂ©die romantique dĂ©jantĂ©e Punch-drunk love, avec Adam Sandler et Emily Watson. La critique en gĂ©nĂ©ral salue l’originalitĂ© de son ton et les surprises de sa mise en scĂšne qui sont couronnĂ©es par le prix de la mise en scĂšne au festival de Cannes 2002. Mais le public ne suit pas totalement 24 millions € de recettes dont 17 millions € aux USA pour un budget de 25 millions €. Il accroit son image d’éclectisme en dĂ©cidant de se tourner, avec There Will Be Blood, vers un western moderne sur le pĂ©trole. Il y consacre cinq ans de sa vie, dont notamment deux furent nĂ©cessaires au financement car les studios doutaient du potentiel du film. Il fait Ă©galement un grand travail de recherche sur le milieu du pĂ©trole au dĂ©but du siĂšcle pour prĂ©parer le scĂ©nario et le tournage. Il obtient en dĂ©finitive un vrai succĂšs public, des critiques excellentes et convergentes ainsi que la reconnaissance de ses pairs huit nominations aux Oscars – pour un Oscar du meilleur acteur – et une nomination par la Director Guild of America. Avec ce film, il obtient le statut d’auteur rĂ©fĂ©rent aux yeux des critiques. A titre d’illustration, James Christopher, critique cinĂ©ma en chef au Times, classe le film en deuxiĂšme position de sa liste des cent meilleurs films du monde derriĂšre Casablanca de Michael Curtiz et il arrive en tĂȘte en nombre de citation dans les listes des 10 meilleurs films de la dĂ©cennie 2000. En 2010, il a un projet de film racontant l’ascension d’un chef religieux charismatique dans les annĂ©es 1950, s’inspirant de la crĂ©ation de l’église de Scientologie. Le projet a Ă©tĂ© refusĂ© par Universal en raison de son budget, alors Ă©valuĂ© Ă  35 M€ ; il est repris par le studio River Road pour un tournage Ă  l’étĂ© 2010 avec Philip Seymour Hoffman dans le rĂŽle-titre. En septembre 2010, le film est ajournĂ©. Il se lance alors dans l’adaptation de Vice cachĂ©, roman de Thomas Pynchon. 5ckx7V.
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